1. Ma première fois... Un vieux et son chien (3)


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Gay

    ... de me baiser, et moi je crois bien, sans trop me l’avouer que j’attendais qu’il trouve enfin le chemin. Le vieillard vint s’assoir sur le banc, baissa son pantalon et son boxer jusqu’à ses chevilles et quand ce fut fait, pris mes bras qui étaient posés sur le banc et se glissa juste devant moi. Sa queue était là face à moi et le vieux salaud n’attendait que ça, que je le suce encore. Il se pencha alors un peu en avant, glissa ses doigts sur mon torse et entreprit de me caresser doucement le bout de mes tétons, j’adorais ça et le vieux avait dû s’en rendre compte. Après quelques minutes de ce petit jeu, il se pencha encore un peu plus en avant. Ceci eu pour effet de rapprocher sa queue a quelque cm seulement de ma bouche, mais c’était pour mieux se rapprocher de la mienne et je sentis ses doigts qui venaient caresser encore, le bout de mon gland. Soudainement, j’ai senti la bite du chien s’enfoncer dans mon anus. Huuuuum que c’était bon, je devais vraiment être complètement fou, pour me laisser prendre par ce clebs, au beau milieu de la nuit et sur ces quais, même si, même si... Le vieillard se rinçait l’œil et encourageait son chien par ses répétitifs : — Allez vas y mon chien, vas y, baise la bien cette petite pute, elle n’attend que ça, il faut lui donner envie de revenir ! Et lui de continuer ses va-et-vient dans mon trou. Sa queue était de plus en plus grosse, je la sentais se gonfler en moi et je n’en pouvais plus de me retenir. — Mais c’est pas possible me ...
    ... disais-je ! Comment puis-je être si excité ? Putain mais c’est un chien qui t’encule, ressaisis-toi !! Rien n’y faisait, mon cerveau semblait ne plus réagir à la raison, le lucre était le plus fort, j’étais battu... Mais l’animal quant à lui, ne semblait pas gêné, le moins du monde et n’arrêtait pas de labourer mon trou...Que c’était bon Wow ! J’étais littéralement en rut et je pris la bite du vieux dans ma bouche, je n’en pouvais plus et je ne contrôlais plus rien. Je n’obéissais qu’à mes sens, il n’y avait plus de logique, il n’y avait plus de limite, que ce plaisir qui envahissait mon ventre et mon corps tout entier et cet orgasme que je sentais si proche. Je mangeais cette bite avec avidité pendant que ce putain de cabot m’enculait et me donnait tout ce plaisir. — Hoo tu me la manges bien ! Continue lèche bien partout. J’aimais bouffer la queue de ce vieux, c’est un plaisir de sucer un homme, c’est certainement le fantasme de beaucoup, mais qui refusent de se l’avouer. Après un moment, le vieux s’est retiré de ma bouche. Voulait-Il éviter de me cracher dedans ? Se branler ? Toujours est-il que doucement il a libéré ma gorge et s’est positionné à côté de moi. Doucement il s’est alors approché, et voyant que j’étais très excité et c’est un euphémisme, il s’est mis à quatre pattes perpendiculaire à moi et a commencé à me branler. Doucement d’abord et en m’astiquant bien au niveau de mon gland, il avait deviné que c’était mon point faible. Ce vieux vicieux, avait vraiment l’art et la ...