1. Unif Sissy transformation (Ep. 4)


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Anal Gay Transexuels

    (... suite...)J’étais moi-même abasourdi, Alex avait accepté ce qui est l’inacceptable pour beaucoup : faire l’amour pour de l’argent, vendre son corps pour de l’argent… et en plus il ne me demanda même pas si ils m’avaient payé, combien, etc. Il était juste ravi de m’aider… et d’en retirer du plaisir. Le reste ne comptait plus pour lui.Quelle transformation ! Était-ce le pouvoir des vidéos d’hypno, avait-il cela en lui, ou bien un peu des deux ? En tout cas, chaque jour il avait besoin de sa dose, et s’il ne faisait pas l’amour à l’unif, il me sautait quasiment dessus le soir… je devais fortement lui rappeler qui était le maître ! J’ai même pensé lui mettre une petite cage sur le sexe, puis ai renoncé. Il me suffisait d’élever la voix, et il obéissait directement. Parfois je le faisais attendre deux heures, cinq heures, une journée, avant de lui permettre de me sucer. Une fois, je le réveillais en pleine nuit, m’étant réveillé avec une de ces érections. Il s’est immédiatement mis en position, à quatre pattes sur son lit, le visage contre son oreiller, sa croupe levée et offerte… juste le temps de lubrifier mon engin, et je me glissais en lui, l’enfilant jusqu’à la garde, le ramonant furieusement avant de jouir en lui. Puis je suis retourné dans ma chambre, sans un mot.Il était entièrement obéissant et soumis et j’en étais fort satisfait. Je ne lui payais même plus ma part du loyer, et il ne disait rien. Et plus sa réputation grandissait dans l’unif, plus je me faisais ...
    ... d’argent. Je veillais néanmoins à rester discret, pour ne pas que les profs s’en mêlent. Il ne faisait jamais plus d’une passe par jour, sur l’heure de table. Et pas tous les jours, et pas au même endroit. Pour être sûr de pas avoir d’ennuis… Alex aimait tellement le sexe que tous ses clients en sont ressortis satisfait et enchanté, les affaires tournaient vraiment bien pour moi !En plus, même si le reste ne comptait plus pour lui, j’étais fasciné aussi à voir son acharnement à réussir son année. En effet, le recteur le laissait vivre sa vie de femme à condition qu’il réussisse, sinon il serait viré… cet acharnement me prouvait que ce n’était pas une lubie, un désire juste physique, un retard de sexe à ratt****r, non, il le faisait vraiment pour rester femme, parce qu’il aimait ça !* *Mike me gâtait ! Une à deux fois par semaine, je rencontrais des étudiants, dans les vestiaires, des wc, des classes vides, jamais au même endroit. Ils étaient seuls, par deux ou par trois. Je pouvais les sucer, les branler, ils me faisaient l’amour, et éjaculaient dans ma bouche ou dans mon rectum… quel pied !Outre le souvenir de ces verges vibrant dans mon cul ou se vidant dans ma bouche, le souvenir du sperme chaud que j’avale, je garde parmi mes meilleurs souvenirs trois rencontres. La première dans une des toilettes de l’unif. le type que je devais rencontrer y était déjà. C’était un black, un costaud ! Encore plus balaise que John. Il me demanda « Tu es la pute de Mike ? ». Gênée, je fis « oui » ...
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