1. Les routiers sont sympas (8)


    Datte: 19/07/2017, Catégories: Hétéro

    ... Elle ne se dérobe pas... Enhardi, je la prends par la taille. Elle se laisse faire... Je l’attire et la serre contre moi. Elle se laisse aller... On s’arrête de marcher, je la regarde dans les yeux. Elle me rend le même regard... J’approche ma bouche de la sienne. Elle entrouvre ses lèvres... Nous nous embrassons longuement, fougueusement, serrés dans les bras l’un de l’autre... Arrivés dans la cabine, portes verrouillées, rideaux tirés, vêtements chauds quittés, nous nous embrassons encore tout en lui caressant le dos. Passant par-dessus ses épaules, mes mains s’aventurent dans son décolleté en défaisant les boutons. Elle se laisse faire... Je fais glisser son chemisier le long de ses bras et lui enlève. Elle se laisse faire... Je trouve l’agrafe de son soutien-gorge, je la décroche. Elle se laisse faire... Ses seins, ronds, à la peau laiteuse, se raidissent. Les mamelons semblent me défier... Par petits baisers, en léchant, ma bouche descend vers ces pointes brunes. L’une après l’autre, je les prends entre mes lèvres, les suçote, les agace avec ma langue. Je les sens se raidir et durcir. Frédérike reste impassible... Je lui prends une main et la pose sur la boucle de ma ceinture et lui murmure à l’oreille : « Déshabille-moi... Je n’ai jamais fait... Je ne sais pas faire - me souffle-t-elle. Ce n’est pas difficile... Ose... Enlève-moi mon T-shirt et caresse-moi le torse. » Si elle me sort le T-shirt facilement, par manque de pratique, ses caresses sont plutôt ...
    ... maladroites. D’une main, je la guide, l’autre s’occupe toujours de sa poitrine. « Ça te fait plaisir ? Ouiiii, j’aime... Continue à caresser... Fais-moi aussi des petites bises partout... Fais comme moi... Ne t’étonne de rien... Laisse-toi aller... Pense à ton plaisir... » Ces mots lui sont chuchotés à l’oreille... Elle apprend vite... Au fur et à mesure, ses caresses sont plus douces, plus osées... Elle commence à me faire des bisous un peu partout, sur les lèvres, les yeux, les épaules, ma poitrine... En descendant, elle s’attarde sur mes mamelons. Elle est toujours vêtue de sa jupe de carnaval. C’est un vêtement en grosse toile, aux couleurs chamarrées qui lui descend jusqu’à mi-mollet. En lui caressant le dos, je trouve la tirette de la fermeture Éclair qui la retient. Je la fais descendre. La jupe chute sur ses chevilles. Elle porte un jean dessous. Lui faisant lever un pied après l’autre, pour les faire sortir du cercle de tissu, j’en profite pour la déchausser. Je défais la ceinture qui retient son pantalon. Passant un pouce à l’intérieur, de chaque côté, je le fais descendre. Elle a une culotte blanche en coton, le devant auréolé d’une tache de liquide... Elle mouille... Imitant mes gestes, Frédérike fait descendre mon pantalon. Je ne peux pas cacher la grosseur de mon sexe qui remonte vers mon ventre, à travers le slip. Voyant cela, elle a un petit geste de recul... « N’ai pas peur... Ça ne va pas te mordre... Je sais... Mais c’est gros... C’est le slip qui donne cette ...
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