Ca a commencé comme ça ! (13)
Datte: 20/05/2018,
Catégories:
Divers,
DEBAUCHE PRES DE LA PISCINE. Lucie a déposé quelques gouttes de crème solaire sur les épaules de Monique et à commencé à la masser. Les épaules, le cou, les flancs, jusqu’à la naissance des seins . Elle s’est reculée sur les jambes de Monique, continuant son petit jeu. Le creux des reins, puis, remontant sur les fesses rebondies qu’elle pétrissait,... les écartant,... les refermant ... Monique gardait les yeux fermés, sa respiration semblait plus rapide, plus saccadée et son visage s’empourprait légèrement. Sa peau veloutée frissonnait par instants, mais elle ne bougeait pas, offerte, acceptant les caresses qui la faisaient trembler de bonheur. Les mains habiles descendaient maintenant sur sa cuisse, au creux du genou, puis remontaient lentement jusqu’à ..... ce que son corps se tende imperceptiblement. Puis passèrent sur l’autre cuisse, le mollet, et ces mains qui remontaient lentement, ...... jusqu’à ce que le dos se creuse, faisant remonter ses petites fesses, comme pour mieux les offrir .... Tournes toi, fit Lucie, un coup de soleil sur les seins, ça fait mal ! Sans mot dire, les yeux toujours fermés, Monique s’est retournée difficilement. Lucie en a profité pour s’agenouiller entre ses jambes, les forçant à s’ouvrir . Versant quelques gouttes sur le cou de Monique, elle à continué ses caresses, les épaules, les seins qu’elle empaumait avec délicatesse, pinçant les tétons turgescents qui n’attendaient que ça. Monique s’abandonnait totalement aux caresses de ma soeur, ...
... dont les mains glissaient sur ses hanches, sur son ventre, son ventre qui s’est tendu nerveusement, comme pour offrir la forêt noire et le trésor qu’elle cachait. L’air était chargé d’électricité, et le silence seulement troublé par la respiration haletante de Monique et le souffle des chiens qui nous avaient rejoints. Leur odorat subtil avait détecté nos odeurs de femelles, et, comme d’habitude, ils étaient venu s’assurer que nous étions bien prêtes à être saillies. Bobby reniflait le haut de mes cuisses que je maintenais serrées, le chien noir tendait le cou vers les fesses de Lucie. Et quand sa langue s’est activée, elle a poussé un ohhhh de plaisir, qu’elle a vite étouffé en plongeant le visage dans la touffe noire de Monique. Noooonnn, arrête, fit celle ci. Mais elle n’a pas résisté quand Lucie à replié ses jambes, comme pour mieux s’offrir à l’indécente caresse qui la faisait gémir. Bobby grattait nerveusement ma cuisse, comme pour m’intimer l’ordre de m’ ouvrir et lui donner accès à la source de ce nectar qu’il aimait tant. J’ai cédé et ....... ohhhhh, ce salop me faisait jouir, faisant jaillir mon bouton d’amour de sa cachette, ouvrant les vannes de ma source de bonheur qui coulait jusqu’entre mes fesses. J’ai plié les jambes pour que sa langue magique fasse frémir mon petit cul, racle mon clito, fouille ma fente .... Ouiiii ! c’était bonnnnn !!!!! Sous son ventre, son fourreau tressautait nerveusement, laissant s’échapper quelques gouttes de ce jus d’amour que j’aimais ...