1. L'épicière épicée


    Datte: 20/05/2018, Catégories: fh, fplusag, fagée, grosseins, groscul, Masturbation pénétratio, coprolalie,

    ... le rebord de l’étal de la caisse. Ses gros nibards tressautent sous ses spasmes et l’intérieur de ses cuisses draine un flot de jus épais et abondant. — Ouah ! Elle dégouline, ma petite épicière !— Tu veux que je te sorte mes mamelons ?— Oh, mais comment tu parles ! On dirait que ça sort tout seul, maintenant, les insanités ! Bien sûr que je veux les voir tes grosses miches !— Oh, oui ! J’ai envie d’être dégoûtante… Tu veux que je fasse quoi ?— Ramasse donc toute la sauce sur tes cuisses… Voilà… Fais-moi sentir… Mmmm ! Ça sent le rut épicé ! J’adore la fourrure de ton con… Elle te remonte jusqu’au nombril !— Vraiment ? Ça te plaît ?— Tu parles si ça me plaît, tu ne vois pas comme je bande ? Elle en semble assez fière de sa toison. Elle l’encadre alors de ses deux mains, se caresse doucement la moumoute qui se hérisse sous ses doigts. — Lèche tes doigts pleins de jutance…— Mmmm… Slurp ! Mmm ! Aaah ! Que c’est bon ! Qu’est-ce que tu me fais faire ! J’ai envie de m’occuper de toi, moi aussi…— Tu ne m’avais pas proposé quelque chose ? Tes nichons…— Oh, oui ! Tu veux les voir ? Elle m’exhibe alors deux belles miches un peu flasques, mais aux tétons terriblement érectiles. — Regarde comme les bouts sont gros ! Ils bandent pour toi !— Il n’y a pas qu’eux qui bandent… Regarde ! Je lui montre mon membre qui glisse entre mes doigts. Mon gland est écarlate, prêt à me péter dans la main. — Et ça serait encore mieux si tu me montrais ton gros cul bien bandant. Combien de fois je me suis ...
    ... masturbé en pensant à tes grosses fesses !— Tu veux les voir comme ça, mon bichon ? Elle se retourne alors, passe ses mains sous sa jupe et fait descendre sa grande culotte jusque sur ses chevilles. — Laisse-là comme ça sur tes pieds, c’est excitant. Et penche-toi en avant… Cambre-toi bien.— Comme ça, mon poussin ? Tu aimes comme ça ? Tiens, regarde, je remonte ma jupe pour toi ! Oh, ce que tu me fais faire, me faire montrer mon cul ! Ouh ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Mais c’est ta belle queue que je sens comme ça entre mes cuisses ?— N’écarte pas, serre-les bien. Mmm, oui ! Je me faufile entre… Le long de ta fente… Oh, que ce gros cul m’excite ! Mais c’est encore tout trempé là-dedans ! Et ça glisse tout seul ! Tu m’en mets plein les poils ! Tu es une gourgandine ! Tu aimes ça, me sentir coulisser entre tes lèvres intimes ?— Oui… Ne t’arrête surtout pas !— On dirait qu’elles m’avalent goulûment le tuyau ! Ecoute-moi ça, ce bruit obscène ! Fluik ! Fluik ! Fluik ! Le bruit de succion remplit le magasin, qui décuple son délire verbal, on dirait le bruit d’une ventouse. Je lui redresse le buste et empogne sa gorge laiteuse à pleines mains. Ses seins sont doux comme des pêches. — Ouuh ! Aaah ! Regarde ça ! Je vois ton bout de pine qui me sort de la chatte ! me dit-elle soudain en se penchant. Comme il est beau ! La sortie de mon gland dilaté de sous son clitoris bandé s’est accompagnée d’une fine giclée de sa liqueur brûlante. — Je le veux pour moi toute seule, ce petit oiseau ! ...