Christine VI : Midlife Crisis (6)
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
Hétéro
Le mois de janvier 2019 est un mois complètement hystérique. Côté professionnel, je dois prendre mes marques dans mes nouvelles fonctions, ce qui n’est pas évident du tout. Côté privé, je dois apprendre à gérer ma double vie. J’essaie ainsi de "partitionner" mon cerveau en trois parties : une partition professionnelle, un autre famille et une pour Alina. Si mon activité cérébrale est ainsi forte intense, il en est de même pour mon activité sexuelle. Non par le fait de ma femme avec qui j’ai deux rapports ce mois-là, mais à cause d’Alina que je vois à onze reprises, le plus souvent après le travail, moment auquel mes nouvelles fonctions me servent d’alibi parfait, mais également tous les vendredis à midi. En janvier, nous avons ainsi dix-sept rapports sexuels et pratiquons la sodomie à cinq reprises. J’ai notamment une folle journée le mercredi 9 janvier. J’ai attaqué le matin à 7h avec une trentaine de mails à traiter, suivi d’une séance avec la direction à 11h. La pause de midi se déroule devant mon écran. A 17h, j’ai effectué dix heures de travail non stop. Mes yeux se croisent. A midi, j’avais eu le temps de lire un message d’Alina qui m’annonçait avoir mis un porte-jarretelles pour aller travailler, détail qui m’excitait particulièrement. Je dois être chez moi à 18h15 au plus tard et Alina le sait. Elle me dit de passer quand même. Je fonce. J’arrive à 17h30 passée. Pas de préliminaires : deux positions, trois minutes de baise sauvage et je file après un passage express ...
... par la salle de bains. Vingt minutes plus tard, j’arrive chez moi et découvre mon épouse dans la même tenue. Je remets ça. Christine prend un pied incroyable, multiplie les orgasmes, vante mon endurance. Je n’arrive juste pas à jouir, j’ai tout laissé chez Alina. Je profite de la préparation à la sodomie pour "recharger les batteries". Mais il me faut en tout près d’une demi-heure de pénétration pour sortir quelques gouttes. Christine est comblée et ce sera la dernière fois. Car deux semaines plus tard, le vendredi 25 janvier au soir, Christine s’installe en face de moi, dans le fauteuil du salon. Je sens immédiatement qu’elle va me dire quelque chose de désagréable. Cela ne rate pas. Mais cela va bien au-delà de ce que j’imagine : — Florent, je veux que tu saches que j’ai des doutes sur ta fidélité. — Je… Elle me coupe la parole : — Je ne veux rien savoir ce soir. Je vais te laisser une semaine pour t’expliquer. Je suis abasourdi et je crains ce qu’elle va m’annoncer. — J’aimerais que tu me dises pourquoi je n’arrive jamais à te joindre les vendredis à midi depuis un mois. Et certains autres jours aussi. Mais surtout, j’aimerais bien savoir à qui était destiné l’ensemble de lingerie que tu as acheté avant Noël, sachant que tu ne m’en as pas offert. Je ne peux plus respirer. J’essaie de donner le change, mais c’est impossible dans ces conditions. Je ne dis rien, fixe la télévision. Christine se lève : — Jeudi prochain, ici, pour en reparler. Elle s’en va dans la chambre. Je ...