1. A la merci de mon beau-frère Ch. 05


    Datte: 19/07/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... vais chercher une serviette..." lui proposais-je, il n'éleva aucune objection, je me ruais dans la cuisine et me rinçais la bouche aussi discrètement que possible. Lorsque je revins dans le salon, Yan avait allumé la télé, je nettoyais les traces grasses autour de lui faisant aussi vite que possible avant de m'installer sur le sofa. Il semblait suivre avec passion un épisode de Star Strek, je n'en croyais pas ma chance. Une seule pipe semblait le satisfaire, peut-être bien qu'il en avait marre d'abuser de mes charmes, juste à l'instant où je commençais vraiment à me relaxer, il ouvrit la bouche. Je n'en ai pas fini avec tes services ma chérie, allonge-toi devant la télé et branle toi, ma mâchoire en tombait d'incrédulité. Cet ordre donné, il avait repris l'observation attentive des événements se déroulant sur l'Enterprise. A contrecœur je rampais devant la télé, je glissais ma main entre mes cuisses et entreprit de me branler la chatte. - "Je veux te voir! ..." intervint Yan sèchement. - "Allez, écarte tes cuisses en grand! ... Je veux voir tes doigts plon-ger dans ta foufoune et ta langue titiller tes nibards..." Je savais qu'il n'était pas de mon intérêt d'argumenter. J'écartais les cuisses en grand et plongeai un doigt dans mon fourreau, je n'étais pas une excellente branleuse mais je faisais de mon mieux. J'avais la vague idée de feindre un orgasme espérant que cela le satisfe-rait. Je tirais un de mes nibards vers mon visage et me penchais en avant de façon à pouvoir ...
    ... titiller mon téton de la pointe de la langue. L'air frais les avait fait s'ériger, mais ils n'étaient guère sensibles à mes caresses. De toute manière devoir faire ça sur la moquette de mon salon en pleine lumière me gênait atrocement. Lorsque je me masturbais, c'était toujours dans le noir et à l'abri dans mon lit. Même le fait que Yan me regardait faire ne m'excitait pas le moins du monde, j'en aurai presque souhaité qu'il me saute. - "Ce 'est une grosse perte de temps! ..." s'impatienta-t-il soudain - "T'es bien trop velue, je ne te vois pas faire! ... Va chercher de l'eau du savon à raser et un rasoir et rase-moi tout ça! ..." - "Qu... Quoi..." couinais-je affolée. Je vis tout de suite son regard s'assombrir, je me résignais rapidement à lui obéir. J'avais eu mal aux fesses plusieurs jours la dernière qu'il m'avait punie et je ne voulais pas répéter cette expérience tant que je pouvais l'éviter. J'allais chercher un bol d'eau du savon çà raser, un rasoir et une ser-viette et je repris ma place sur la moquette. Ce n'était pas la tâche la plus facile dont je devais m'acquitter. J'en avais mal au cou et au dos de me courber pour observer attentive-ment mon entrejambe. Ma fourrure n'était pas très épaisse, mais les poils étaient longs et bouclés et cela me demanda quelques passages avant même de tailler une toute petite clairière dans ma toison. Je prenais mon temps, maniant avec circonspection la dangereuse lame à proximité de mon intimité. J'espérais par ailleurs qui cela ...
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