1. Un vaut mieux que deux tu l'auras.


    Datte: 21/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... peut-être des films, après tout. On va seulement boire un verre. À peine arrivé sur la place, je la vois de loin, l’air distraite, visiblement concentrée sur l’architecture d’une enseigne bancale de l’autre côté de la rue. Le vent donne à ses cheveux un volume qui ne leur est pas propre et fait tournoyer sa robe. Je profite de sa concentration pour prendre le temps de la détailler. Ses cheveux bruns dansent le long de son cou, sur ses omoplates, à la naissance de ses seins, tandis que sa robe tendue peine à couvrir la totalité de ses cuisses, qu’elle a toujours élancées et dessinées au fusain. Son décolleté pourrait sembler osé sur une autre, mais elle le porte très bien, ne flattant la surface de tissu couvrant ses seins que par à-coup. Je m’approche d’elle par derrière et lui cache les yeux. Elle ne réagit pas, puis lentement, tourne la tête jusqu’à ce que ses lèvres frôlent mon menton. Elle se jette finalement à mon cou, son corps épousant le mien, mais seulement l’espace d’une seconde beaucoup trop courte. Nous allons nous installer en terrasse, le vent caresse nos peaux, mais l’aménagement de la terrasse nous laisse l’intimité suffisante pour se détendre. Nous commandons, nous discutons, je n’écoute qu’à moitié, me contentant de relancer la conversation et de poser des questions. J’ai l’impression de voir sa voix prendre naissance derrière son ventre mince, pour remonter dans sa gorge et caresser sa langue. Nos genoux n’arrêtent pas de s’entrechoquer, mais elle ne ...
    ... semble pas chercher à prolonger les contacts, je les provoque donc volontairement, avec précaution, et elle laisse ses genoux reposer le long des miens. Elle parle moins fort. Je suis obligé de me rapprocher. Après quelques minutes, je renverse involontairement son Bloody Mary, qui coule sur sa robe et un peu le long de mon bras. Après 3 secondes de réflexion, nous nous orientons vers son appartement, pour qu’elle se change et que je me rince le bras. Son petit appartement est tout à fait à son image. Ni grand ni petit, à la décoration inconstante et hasardeuse. L’appartement a un air de secret, qui me rappelle la complexité même de l’âme de Chloé. Par l’encoignure de la porte, je l’aperçois, de dos, nue. Cliché typique. Une fois moi rincé et elle changée, on décide de regarder un film, histoire de ne pas rester les bras ballants au milieu de l’appartement. Le film, je l’ai déjà vu, mais je n’ai de toute façon pas l’intention de me concentrer dessus. Je préfèrerais me concentrer sur Chloé, ce qui serait plus simple si : De un, elle arrêtait de se lever et de deux, si son T-shirt n’était pas si court. À chaque fois qu’elle se lève ou se rassoit, j’ai sous mes yeux une paire de fesses, nues, à damner le diable. J’ai d’ailleurs du mal à contenir mon excitation. La savoir quasiment nue à quelques centimètres de moi, Brrr. Enfin, elle se rassoit et semble disposée à ne plus bouger. Elle s’allonge sur moi, le T-shirt à la limite des fesses, ses seins se coulant entre mes jambes. La main ...