Mille euros
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
cérébral,
revede,
Oral
pénétratio,
jeu,
tarifé,
... plaisez infiniment.— Je ne vous en demande pas tant.— Pour vous, c’est un moment à passer, hein ? Un mauvais moment, même. Je veux dire : avec votre mari. Vous ne pouvez quand même pas avoir la migraine tous les jours.— Encore une fois, ça ne vous regarde pas !— Si.— Et en quoi cela vous regarde-t-il, je vous prie ?— Je veux que la femme avec qui je fais l’amour jouisse, elle aussi.— Eh bien, avec moi, je vous souhaite bien du plaisir !— Mais j’y compte bien. Et j’entends également vous en donner, du plaisir. Vous en aurez pour vos mille euros.— Quelle outrecuidance !— Remontez votre jupe, je ne vous ai pas autorisée à cacher vos genoux.— Parce que vous me payez, vous vous sentez en droit d’exiger, de commander. Profitez-en, ça ne durera pas.— Plus haut ! Je veux voir vos cuisses.— Oh voilà : vous êtes content ?— Écartez les jambes…— C’est bien parce que vous m’avez achetée… Ôtez votre main ! Laissez-là donc sur votre volant.— Hum, j’adore votre odeur intime !— Ah, taisez-vous donc !… Il n’y a vraiment pas de quoi rire. … — Vous savez, les mille euros sont à vous, je vous les ai déjà donnés. Rien ne vous obligeait à m’obéir.— Mais enfin… l’honnêteté… Je ne veux pas…— Vous tenez donc à les mériter, ces mille euros. Ne vous en faites pas, vous les gagnerez, j’userai et abuserai de vous toute la nuit. Voici ma rue… Mon immeuble. Il y a toujours de la place pour se garer un peu plus loin… Voilà… Le digicode est très simple : 1-2-3-4. L’ascenseur était en panne la semaine ...
... dernière, il a été réparé. Le voici. Vous pouvez partir, si vous voulez. J’appellerais un taxi, et vous garderiez les mille euros. … — Quel air farouche vous aviez, quand vous êtes rentrée dans l’ascenseur ! Et quelle démarche décidée pour franchir ma porte ! Mais je ne suis pas vraiment sûr d’avoir envie de vous.— Menteur ! Mais… qu’est-ce vous faites ?— Je vous respire. En même temps, je palpe vos fesses, étonnamment fermes ! Rebondies à souhait. Remontez votre jupe… Remontez votre jupe !— Il faut que vous… il faut que vous vous écartiez un peu, alors.— J’adore cette odeur, oui… Tiens, il me semble que tu mouilles !— Sûrement pas !— Mais si ! Tu vas enlever ta petite culotte et je glisserai ma langue…— Oh non !— Oh si ! Mais nous avons tout notre temps. Laisse-moi t’embrasser.— Les prostituées n’embrassent jamais, je le sais.— Tu n’es pas une prostituée… Mais tu m’as quand même appelé « chéri », tout à l’heure.— Je sais qu’elles font cela. Je l’ai lu. Relevez-vous, allons ! … — Tu as des seins superbes !— Vous… vous me faites un peu mal. Ils sont très sensibles, vous savez. Mais…— Oui ?— Mais rien, rien…— Ma chambre est par ici. Viens. … — Oh non, oh non !— Tu coules comme une fontaine, j’en ai plein la bouche !— Prends-moi, prends-moi vite mon chéri ! … — Oh non, non… Oh mon dieu… oh mon dieu ! Ah… Ah oui, oui… Oh là là !… … — C’est redevenu tout petit ! Tout rabougri ! Mais c’est si doux !… Tiens, ça se regonfle un peu. Moi, j’ai encore envie. Je crois que je ne pourrais plus ...