Ciara
Datte: 22/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
jeunes,
copains,
école,
toilettes,
intermast,
préservati,
pénétratio,
... coup, bah… Ciara : D’un coup ? Quoi ? Accouche ! Joe : Je… On s’est retrouvés à flirter tous les deux. Un gros silence envahit la chambre. Ciara (glaciale) : Jusqu’où exactement ? Joe baisse les yeux, mais ne répond pas. Ciara ne le quitte pas du regard. Joe (mal à l’aise et d’une petite voix) : Heu… Ciara : Elle t’a sucé ? Joe : Non. Ciara : Tu l’a léchée ? Joe : Non, non. Pas jusque-là. Ciara : Alors ? Joe : Je lui ai sucé les seins et on s’est embrassés, mais je l’ai stoppé avant que ça n’aille trop loin. Ciara rougit de colère. Joe reste pantelant, assis au pied du lit et n’ose pas la regarder. Joe : Je suis désolé. Je ne sais plus où j’en suis, mais je t’assure que je ne voulais pas faire tout ça. Ciara (cynique) : Tout comme tu ne voulais sans doute pas enculer Kelly le jour de ton arrivée, tout ça dans les chiottes, et baiser Kim le même soir. Tu perds pas de temps, comme mec. Mais je voulais croire que… Elle hausse les épaules. Ciara : Pourquoi tu me racontes ça maintenant ? C’est une manière élégante de me dire « entrevoir » ? Joe : Non, je… J’ai éprouvé le besoin d’être sincère. Ciara : Une fois les couilles vidées, bien sûr. C’est bien comme ça que les mecs sont sincères. Joe : Je ne suis pas comme les autres. Ciara : C’est vrai, t’as une queue plus grosse que la moyenne. Mais elle te chatouille tout autant que les autres. Elle sort sur ces mots. Joe se prend la tête entre ses mains, abattu. Mercredi, 7 h 38. Joe rentre chez lui. Il dépose sa veste dans l’entrée ...
... et se dirige vers sa chambre. Il jette un œil dans la chambre de ses parents : elle est vide. Joe : Je suis rentré ! Vous êtes là ? Aucune réponse. Il ouvre sa commode et prend des vêtements propres. Il se dirige vers la salle de bain et renouvelle son appel. Rien. Joe : Ils doivent déjà être partis au boulot. Un quart d’heure plus tard, il ressort de la salle de bain, propre et bien habillé. Il fait le tour des pièces, se rend dans la cuisine et boit un verre de jus d’orange. Joe : Ils auraient au moins pu me laisser un petit mot… Il consulte sa montre et hausse les épaules. Il prend son sac de cours, récupère sa veste dans l’entrée et sort. Mercredi, 8 h 14. Nous sommes devant l’entrée du lycée Jean Jaurès. Une masse d’élèves entrent dans le bâtiment. Joe descend la petite rue et va faire de même, l’air déprimé. Nivea, au loin, le voit venir et court à sa rencontre. Nivea : Tu tires une de ces gueules… Joe : J’ai pas le moral. Nivea : À cause de Kim ? Joe : À cause de tout. Ils entrent dans le bâtiment côte à côte, se frayant comme ils peuvent un chemin dans cette fourmilière géante. Nivea : Tu lui as reparlé depuis ? Joe : Non. Et toi ? Nivea : Je l’ai eue au téléphone hier soir. Joe : Et elle t’a parlé de moi ? Nivea : Elle m’a demandé comment ça allait. Joe : Et t’as dit quoi ? Nivea : Que tu étais dégoûté. Joe éclate d’un rire amer. Joe : Je suppose que tu lui as rien dit sur notre petit flirt ? Nivea (rougissante) : À quoi ça aurait servi ? Joe : À rien, t’as raison. ...