Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 6)
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... chambre. Il s’agissait d’un document d’une bonne vingtaine de page. Je me contenterais d’en reprendre quelques passages. Des clauses particulièrement vicieuses et perverses étaient dissimulées au milieu d’un texte tout ce qu’il y a de plus standard. Ainsi, le préambule décrivait classiquement le lieu de travail, mes horaires, ma fonction, la durée du stage, puis d’un coup, une petite phrase inattendue mentionnée comme clause principale dite d’exclusivité spécifique précisait que je devais m'engager à être leur pute et à satisfaire tous leurs besoins pendant toute la durée de ma formation. Je devais également accepter la publication de photos et vidéos sur internet. Cette première clause précisait, en outre, qu’Il me faudrait tenir un journal détaillé sur lequel tout devais être consigné. Plus précisément, ce journal, annexé à mon rapport de stage pourrait servir de base à une publication privée sur internet, publication agrémentée de photos et de vidéos pour lesquelles je devais donner mon accord par avance. Il pourrait également servir de référence pour justifier de ma note de stage finale qui dépendrait de la manière dont mes mentors allaient apprécier mon évolution et mes progrès. En tout début de contrat était également précisée ma tenue vestimentaire pendant la durée du stage. Je devais m'engager à me présenter sur mon lieu de travail en jupe ou robe courte chaussée obligatoirement d'escarpins à talons hauts (surtout pas de baskets). Mes sous-vêtements étaient ...
... également imposés. Pendant toute la durée du stage : uniquement des bas avec porte-jarretelles ou guêpière et une petite culotte blanche taille haute en coton. Cette clause « tenue vestimentaire sur le lieu de travail » était complétée par une longue annexe en caractères minuscules. Un paragraphe « petite culotte » y était particulièrement détaillé. Je trouvais tout cela parfaitement ridicule et hors propos, même si, depuis le début cela m’excitait de me plier aux fantasmes de ces vieux pervers. En résumé, ils me voulaient habillée en pute avec une culotte de petite fille. Il était même mentionné que je pouvais me procurer ces culottes de qualité par correspondance en choisissant uniquement des modèles qui arrivaient légèrement en dessus ou en dessous du nombril. Je pouvais également, si je le souhaitais, me fournir en culottes grande fille à fleurs ou en coton rose chez Petit Bateau ou Vert Baudet. Pour terminer, il était précisé que je devais toujours avoir au moins une petite culotte en réserve dans mon sac. La robe ou la jupe pouvait être plissée et ample ou très ajustée avec dans ce cas une fermeture éclair sur toute la longueur, mais, toujours courte, juste à la limite des bas, de manière a ce que je sois en permanence obligée de me tortiller et de tirer dessus pour éviter que l’on puisse voir mes jarretelles. Je pouvais également, à l’occasion, porter une petite jupette écossaise d’écolière à condition d’enfiler des chaussettes blanches par-dessus mes bas. Par ailleurs, le ...