Sans tort et cent reproches
Datte: 23/05/2018,
Catégories:
fh,
bizarre,
délire,
humour,
aventure,
sorcelleri,
merveille,
... d’autres créatures de l’engeance de Bazouk. — Euh… donc… pour voir si j’ai tout bien compris, vous nous prêtez votre génie pour nous aider à récupérer le nôtre, c’est ça ?— Oui. Kraçou saura revenir de lui-même sitôt sa tâche accomplie, nous confirma Kalima, avant d’ordonner à son génie : Kraçou, regagne ta demeure ! Et hop ! Celui-ci disparut, sous les yeux stupéfaits d’Aurélie. — Quand je pense que pour faire rentrer Bazouk dans sa théière, on est obligé de le menacer avec du sel…— Oui, celui-ci a l’air plus obéissant.— Attention tout de même, nous prévint la rebouteuse, soyez prudents et ne demandez son intervention qu’à bon escient. Je l’observai avec appréhension, mais elle ne s’étendit pas. Elle refusa les billets verts que je lui tendis et nous recommanda d’en faire don à des habitants du village voisin. Et nous prîmes congé non sans l’avoir remerciée de toutes nos forces. *** Sans avoir la taille et la vigueur de celle d’Aurélie, la bite de Peter était tout à fait respectable ; il ne résista pas longtemps à l’envie de me la montrer dans la chambre d’hôtel que nous avions prise à Port-au-Prince. Il s’était fait de plus en plus pressant à mon égard, et mon corps de femme le désirait toujours plus. Et puis, de voir Aurélie troncher Estelle à quelques mètres avait achevé de nous exciter, lui et moi. On baisa donc tous les quatre dans la grande suite, et la jolie blonde me convainquit même d’essayer la double pénétration après avoir elle-même savouré les queues de nos ...
... deux athlètes. Notre avion pour Miami ne décollait que dans la matinée du lendemain, et les trois heures de route sur les chemins misérables de l’île et sous la conduite nerveuse de Peter nous avaient parfaitement épuisés. Notre chauffeur semblait résolu à nous accompagner jusqu’au bout de notre « mission » : localiser Bazouk, le maîtriser avec l’aide de Kraçou, et le foudroyer jusqu’à ce qu’il retrouve sa bonhomie coutumière. Mais tout épuisé que je fusse, je n’arrivais pas à m’endormir ; sans doute ressassais-je trop. Même après m’être masturbé(e) un grand coup, je ne succombai pas à la fatigue, alors que les trois autres ronflaient à tout va autour de moi. Je finis par me relever, nu(e), pour boire un litre d’eau, et avisant la bouteille que nous avait confiée la vieille Kalima, je fus soudain pris de l’envie de faire apparaître le génie. — Qu’y a-t-il à ton service ? me demanda celui-ci en jaillissant, évanescent. J’avais beau m’être habitué à Bazouk, j’étais toujours quelque peu impressionné. Mais Kraçou avait quand même une allure bizarre : il louchait comme personne. Quand il me regardait, j’avais l’impression que ses yeux exploraient tous les autres coins de la pièce. — Pourrais-tu me rendre mon apparence ? chuchotai-je. Même si j’avais savouré les assauts d’Aurélie et Peter, même si j’avais joui en hurlant, même si ça m’éclatait de me caresser, j’étais plutôt nostalgique de mon enveloppe charnelle habituelle, et mon esprit se trouvait mal à l’aise, tiraillé entre sa ...