1. Vacances initiatiques


    Datte: 23/05/2018, Catégories: ff, couplus, inconnu, vacances, caférestau, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, init,

    ... tissu du maillot et surtout une humidité lui chauffer l’intérieur des cuisses. — Nous devons partir, lance Christine, mais ce soir, on peut dîner ensemble ?— Avec plaisir, répond Nathalie. À ce soir. "Dans quelle aventure t’engages-tu ? Et puis arrête de te poser des questions ! Que veux-tu qu’il t’arrive ?" finit par conclure Nathalie. Le soir, les trois filles se retrouvent à la même table, au fond du restaurant. Les apéritifs et la bouteille de vin qui accompagne le repas ont totalement libéré Nathalie et elle se sent beaucoup plus à l’aise en compagnie de ses nouvelles amies. Elles parlent de leurs vacances, de leurs professions et naturellement elles finissent par évoquer leurs vies sentimentales. — Tu sais, avec Carmen, on n’est pas seulement amies. On vit ensemble depuis quatre ans, annonce Christine. Tu n’es pas choquée ?— Non, pas du tout, je m’en étais rendue compte. Et vous avez l’air tellement bien toutes les deux, que vous faites…— Envie, poursuit Christine.— Euh, oui, enfin, je veux dire que… vous avez l’air heureuses, s’embrouille Nathalie.— Et toi, tu nous envies ? insiste Carmen. Nathalie ne sait plus quoi répondre et se sent prise dans un piège qu’elle redoutait un peu. — Hier soir, tu avais l’air d’apprécier ce qui se passait sous notre table… À la place de laquelle de nous tu aurais aimé être ? demande Christine.— Je ne sais pas… C’est vrai que c’était très érotique, mais je ne suis pas habituée à ce genre de situation. La température est montée d’un cran… ...
    ... est-ce le vin qui commence à faire son effet, ou simplement le tour qu’est en train de prendre la conversation ? — Tu n’as jamais fais l’amour avec une femme ? questionne franchement Carmen.— Non, je n’ai jamais eu le désir d’essayer.— Et maintenant, tu aimerais essayer ? insiste Christine. "Elles sont diaboliques", pense Nathalie. Elle est bien obligée d’admettre que la situation commence à l’exciter et qu’elle est presque prête à faire des bêtises. Tout à coup, un pied dénudé se pose sur le dessus de sa sandale et remonte doucement vers la cheville. C’est délicieux. — C’est juste pour voir si tu es prête à essayer, sourit Christine, qui continue à la caresser.— Vous êtes terribles ! proteste Nathalie. Qui vous dit que j’ai envie de faire des galipettes avec vous ? Je vous l’ai dit : je n’ai rien contre les lesbiennes, mais je n’en suis pas une.— La scène d’hier soir t’a excitée et ce matin, au bord de la piscine, tu n’as pas cessé de nous observer… Malgré tes lunettes de soleil, le désir se lisait sur ton visage. Elle s’apprête à répondre, mais c’est maintenant quatre pieds qui caressent ses jambes et qui remontent, avec une lenteur extrême, jusqu’à ses cuisses. La sensation est divine et, en fermant les yeux, Nathalie ne peut s’empêcher de pousser un gémissement qui la trahit. — Je propose que nous prenions le café dans notre chambre, annonce Carmen. Sans attendre de réponse, les deux filles se lèvent et entraînent Nathalie qui tente de protester. — Hé, attendez ! Je n’ai ...