Madame Besson - Chapitre 7
Datte: 23/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Chapitre 7 Mme Besson « Il est important de savoir que j’appartiens aujourd'hui, comme un animal docile, à Mlle Fournier. C'est elle qui m'a dressée, soumise... et, elle est devenue ma maitresse, ma propriétaire… et ma « patronne »... puisqu'elle me fait maintenant travailler comme pute. Il y a longtemps déjà, j'ai quitté l'enseignement et ma famille. Bien que ma vie d'avant et mon mari me manquent parfois, j’assume avec plaisir, au quotidien, ma soumission envers Mlle Fournier. Pour elle, je me charge des envies et besoins des hommes... boire leur foutre, offrir mon cul, ma bouche, mon sexe et les hommes ne se privent pas ! Je suis sa CHOSE, sa prise en main est totale, ferme, sans aucune concession. Je lui suis d'une obéissance absolue. En cas de manquement de ma part, les punitions sont très sévères. Mais au fil des jours, je me suis habituée à lui obéir. Elle est d’une habileté infernale à faire vivre et vibrer mon sexe, mes seins, à faire vivre tout mon corps. La découverte de ses sensations, la découverte de ces bonheurs est divine et pour, je lui suis devenue définitivement dévouée. J'accepte que ma maitresse, me prête à d'autres pour des stages de dressage, de soumission, d’humiliations qui font de moi une véritable salope apprivoisée. Mlle Fournier m'exhibe toujours en femme soumise, tenue en laisse, je suis une pute offerte par Mlle Fournier à qui me veut. Souvent nue, sur les parkings de routiers d’autoroute, ...
... en voiture, dans les toilettes pour hommes, dans les restaurants, dans les boutiques, sur les trottoirs, je reçois la fessée au bord des routes ou le fouet en public ! Mais ces exhibitions, où je dois mettre en avant, sagement, au claquement de doigt de ma maitresse, j’accours comme une véritable chienne servile, mes fesses et mon sexe nu épilé, ne sont en fait, que les préludes à l'acte de dévotion ultime, m'offrir, pour elle, sans discussion, à des inconnus ! Me faire prendre. Une longue et jouissive déchéance, dans laquelle je me vautre maintenant chaque jour. Je lui suis d’une obéissante totale, sans condition, Mlle fournier, avait su me donner les prétextes de ma propre soumission, la capacité d’accepter ma propre dépravation. J’étais désormais capable de m’assumer, d’assumer ce que je suis. Une salope, une pute, ce qu’on voudra, peu importe, les insultes ne me touchent plus, puisque je les mérite toutes… » Comme chaque matin, le rituel de l'inspection, avant de partir travailler, Mme Besson se présente à Mlle Fournier, maquillée, fond de teint, avec des yeux au mascara très noir et un rouge à lèvres écarlate qui sert l'animal qu’elle est à se sentir encore plus salope, encore plus pute, comme Mlle Fournier aime qu’elle soit ! Face à elle, nue, à genoux, Mme Besson écarte largement les lèvres de son sexe pour bien lui montrer son obéissance et sa volonté d'être disponible. — Alors, petite pute, tu m’as obéi ? — Oui Mlle Fournier, je me suis habillée comme vous me l’avez ...