1. Hymen et amen (1)


    Datte: 23/05/2018, Catégories: Divers,

    Comme nous l’a demandé un sympathique coquin, voici la narration du dépucelage de ma chérie. Je n’interviens que pour la présentation de ce récit, elle va écrire son histoire elle-même. Bonjour, Tout d’abord je tiens à remercier la personne qui a créé ce site. Il permet à mon homme de compléter sa passion de me partager. Il le fait de manière réelle (et j’adore ! ), mais également maintenant de façon écrite comme vous le constatez. Nous nous remémorons régulièrement nos (ou mes ou ses) rencontres d’un soir ou d’un weekend, cela entretient la flamme lors de nos périodes calmes. Je suis certaine que nombreux et nombreuses d’entre-vous qui vivez ensemble de manière libertine le font. Voici donc comment j’ai perdu ma virginité. En plusieurs étapes, comme vous le constaterez. Etudiante, j’avais de nombreux prétendants. En toute modestie féminine :-), j’étais plutôt ce qu’on appelle une belle jeune fille. Je me faisais draguer par mes condisciples du bahut, mais je sais que je ne laissais pas tous les profs indifférents. D’ailleurs j’ai eu droit de la part de certains (surtout le prof de maths) à quelques frôlements de mains qui n’étaient pas innocents. Mais jamais rien de plus ! Je n’étais pas une oie blanche, à l’athénée j’ai flirté avec beaucoup de copains. Je leur permettait de me peloter, mais aucun d’eux ne m’a fait l’amour. De mon côté j’en ai (ils sont tous les mêmes, très insistants) sucé quelques-uns. Surtout Fabian ! Fabian, peut-être le seul avec qui j’aurais accepté ...
    ... plus, mais il n’a jamais essayé. Par contre, lorsque nous allions ensemble au cinéma, il fallait à chaque fois que je m’occupe de son sexe. Sa méthode était toujours la même. Il m’embrassait et, pendant le baiser, sortait son engin de son pantalon. Ensuite il appuyait sur ma nuque pour me faire comprendre que je devais "descendre". Au début il se retenait, mais par la suite il éjaculait dans ma bouche. Moi je ne lui ai jamais permis que l’accès à ma poitrine, hors de question de "visiter" le bas. Depuis plusieurs années (après le décès de maman), j’allais à la messe tous les weekend, parfois le samedi fin d’après-midi, parfois le dimanche en matinée. Toujours avec mon oncle X, le frère de maman. Il était (et est toujours) d’une grande beauté. Plus d’un mètre quatre-vingt-cinq et un véritable corps de sportif. Certaines copines de classe que je voyais à l’église venaient toujours nous saluer, rien que pour faire leur cinéma devant lui. Personnellement, il m’arrivait certains soirs de me caresser en pensant à lui, mais lors de ces caresses je l’imaginais comme mon copain et pas en tant qu’oncle. Un jour, Cindy, la pimbêche de l’école avec laquelle je me disputait, m’a dit: "Et d’ailleurs je sais que tu couches avec ton oncle !". Je l’ai giflée ! Elle a continué ses médisances en ajoutant que ça se voyait, qu’il me tenait toujours par la taille. Le soir, dans mon lit, j’ai repensé à ce qu’elle m’avait dit. C’est vrai qu’il me tenait toujours par la taille quand nous marchions et, ...
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