Aire de stationnement
Datte: 24/05/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
couplus,
inconnu,
campagne,
parking,
facial,
Oral
préservati,
double,
Partouze / Groupe
init,
... de repos. Je sens son regard sur moi. La place est libre. Il est vrai que ce n’est pas le sens de circulation pour les départs en vacances et il est deux heures du matin. Il faut quelques secondes pour que nos yeux se fassent à l’obscurité. C’est elle qui le voit la première : il est bien là, sur le banc. Dominique tourne son visage vers moi. Elle sourit, juste un petit pincement des lèvres, de celle qui est heureuse de retrouver quelque chose d’égaré depuis longtemps. Moi aussi je lui souris. J’ouvre ma portière, fais le tour et vais ouvrir la sienne. Elle sort. Aussitôt je l’embrasse. Elle répond à mon baiser avec une fougue et une passion qui sont plus parlantes que tout. Elle est prête. Moi aussi. Je suis appuyé contre la portière et ordonne sans détour : — Suce-moi. Déjà je bande, et il lui faut largement tirer sur l’élastique du slip pour me libérer. Elle me prend délicatement dans la bouche ; ses mains testent la dureté de mon mandrin. Elle me regarde, et dans ses yeux je vois tout l’amour du monde. Je ne sais pas si notre voyeur nous reconnaît, mais lorsque je lui fais un signe d’invitation, il se rapproche aussitôt. Lorsque ma femme remarque sa présence, elle hésite juste un instant et comme je le fais s’installer à côté de moi, donnant d’une certaine façon mon autorisation, elle entreprend alors de défaire sa braguette. Lui aussi bande et, pour le libérer, il l’aide à faire descendre le pantalon et le slip. La verge est de belle taille, sans être énorme. Le gland ...
... est très peu marqué, simple prolongement de la hampe et, étrangement, le diamètre augmente vers la base comme une lance. Dominique la saisit avec précaution, un peu comme la dernière fois, comme si le simple contact de cette queue qui lui est offerte risquait de la brûler ou de la marquer au fer rouge de l’infamie. Pourtant, elle ne recule pas : juste un regard vers moi pour recueillir mon assentiment, que d’un sourire je transmets. Alors, rassurée, elle emprisonne la queue dans une main alors que l’autre vient servir de nid aux deux bourses. Maintenant elle branle lentement l’homme, et la queue grandit encore sous ses caresses. Je suis maintenant le voyeur de ce couple, et ce changement d’état ne change en rien mon plaisir ; bien au contraire, j’adore ce que je vois et ma verge se tend comme un arc pour venir se plaquer contre mon ventre. Mais l’homme veut quelque chose de plus de cette prêtresse en adoration à ses genoux. Il emprisonne sa tête entre ses mains et amène les lèvres de ma femme près de son gland. Elle hésite à nouveau. Branler une queue anonyme est une chose ; la prendre dans sa bouche en est une autre. Il insiste. La langue sert d’avant-garde à un premier contact sur le gland circoncis. Dominique est très à cheval sur l’hygiène, et l’examen doit être réussi car les lèvres rejoignent le champ de bataille. C’est le gland qui disparaît maintenant et l’homme relâche son étreinte devant tant de bonne volonté. Elle lui fait ce qu’elle a perfectionné pendant des années ...