1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1124)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plus vite, s’empalant sur cette queue de plastique. Il montrait qu’il était qu’une lopette destinée à être enculée régulièrement. La Domina compris que son mari était à sa botte maintenant, et plus jamais il allait ramener sa fraise, comme on dit. D’ailleurs pour l’instant, il gémissait de plaisirs, on l’entendait couiner : - Hummmm, oui, oui, encore, encore, plus au fond, en entier, en entier ! … Chiennasse avait le sexe en feu, plus il léchait la Domina, plus il souffrait et plus encore il cherchait son plaisir dans l’espoir qu’à un moment donné ce serait celui-ci qui l’emporte. Mais avec désespoir, ce n’était pas le cas, vaincu par la douleur il s’arrêta de s’occuper de la Domina, il avait besoin de souffler, sa nouille devait débander. Elle rugit alors : - Espèce de lopette, tu oses t’arrêter, ma chatte n’est pas assez bonne pour toi ? Alors de son talon aiguille, elle laboura le dos de Patrick, et rajouta sévèrement : - C’est ta cage qui t’embête, tu veux débander ? Je vais t’aider, allonges toi chien, écarte tes pattes. Patrick obéit en faisant cela, il laissait aussi sa nouille à portée de la Domina qui en le regardant dans les yeux approcha son soulier de la bite du soumis. La chaussure écrasa la ...
    ... cage mais aussi les testicules de Chiennasse qui eut le réflexe de protéger ses parties intimes de ses mains. Une gifle le rappela à l’ordre : - Pas touche, dit-elle tout en continuant d’appuyer. Patrick sous la douleur mit du temps à débander de sa nouille comprimée dans sa cage et ce n’est que lorsque son sexe repris sa taille au repos que la femme s’arrêta d’appuyer. -Voilà qui est plus raisonnable, dit-elle. J’exige que tu me lèches de nouveau … Patrick acquiesça d’un signe de la tête. La Domina s’assit alors sur son visage présentant sa chatte sur sa bouche, Patrick doucement repris son travail et cette fois si c’est sa bouche qui avalait les lèvres intimes, il avait la mouille de la femme qui glissait dans sa gorge mais toute son attention était prise par le fait qu’il ne souhaitait pas bander. De son côté le Châtelain besognait bien au fond le mari, dans une saillie torride et bestiale à grand coups de god profond qui rentrait pratiquement en entier. Et quand le Noble Seigneur le retira le cul du mari était superbement élargi, un bien beau spectacle s’offrait à lui, il lui lança alors : - Tu en veux encore petite pute ? Le mari hocha de la tête, il était devenu une lopette bonne à enculer… (A suivre …) 
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