1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.


    Datte: 24/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de ma matrice et m’arrachent des gémissements de plus en plus jouissifs. Les mouvements de l’homme sont plus rapides, je devine qu’il va bientôt jouir. Dans mon ventre c’est le feu, l’embrasement, puis l’explosion quand je sens les chaudes giclées de sperme de mon amant frapper ma matrice. Un moment, anéantis pas le plaisir nous sommes restés soudés, enlacés. • Eh ben, dis donc ma chérie. C’était bon? • Oui t’as vu, tu m’as fait jouir, mon chéri. Tu as aimé me faire l’amour? • C’est rudement bon de baiser avec toi. On n’a pas mis de capote. Je suis sain tu sais, on ne risque rien, tu prends la pilule au moins? • Oui et je suis saine aussi. Tu baises bien, tu es un sacré amant! Viens embrasse-moi encore et tu ne m’as pas baisée, nous avons fait l’amour. Je ne regrette pas cette soirée avec toi. Sous la douche, nous nous sommes encore touchés, embrassés caressés, sucés. Claude m’a soulevée, adossée au mur et d’un coup de rein m’a prise à nouveau. A nouveau, il m’a limée de longues minutes, m’a arrachés des gémissements, des cris puis des pleurs de plaisir. Il a de nouveau éjaculé en moi, avant de me reposer sur le sol. Nous sommes restés de longues minutes enlacés, embrassés sous l’eau tiède et régénératrice. Malgré l’insistance de Claude, j’ai respecté la promesse faite à Philippe de ne pas revoir cet homme et de ne pas lui laisser mes coordonnées. Je n’avais cependant pas résisté à la tentation de me faire prendre sans protection et de laisser mon amant se vider en moi. Je n’étais certes pas en période « dangereuse », mais cela était bien évidemment une folie, qui fâcha Philippe, qui me dit : « tu ne peux pas t’empêcher » !
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