1. L'examen


    Datte: 25/05/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, portrait, prememois, inithf,

    Je n’ai jamais été un fort en math et je me payais chaque année un examen de passage. Ce fut ainsi jusqu’au passage en rhétorique. J’avais dix-huit ans et, comme j’avais pris du retard, je devais à tout prix réussir en septembre pour entrer en dernière année. Je passais donc mes vacances à tenter de jongler avec les intégrales et les fractions exponentielles. Je suais devant les équations, les sinus et les polyèdres plus tordus les uns que les autres. Un dimanche d’août, mes parents recevaient des amis et après le repas, nous étions à bavarder dans le jardin. La femme, encore jeune, que j’appellerai Brigitte, s’était assise en face de moi. Elle était prof de physique dans un lycée d’une grande ville. Je la regardais avec attention et me rendis soudain compte qu’elle ouvrait lentement les jambes et que j’apercevais sa petite culotte rose. Elle rapprocha ses genoux, puis les écarta un peu plus, comme une invitation. Soudain, elle me regarda dans les yeux et je me sentis rougir jusqu’aux oreilles. Elle insista et soudain se leva, rentra dans la maison pour reparaître deux ou trois minutes plus tard. Elle reprit la pose, gardant ses cuisses ouvertes. Je baissai les yeux pour ne plus la regarder car j’avais remarqué qu’elle avait enlevé sa culotte et qu’elle ne se gênait pas pour me montrer sa chatte toute nue. — Dis donc, je ne comprends pas pourquoi tu ne piges rien aux maths. Tu as certainement été mal éduqué dans ce domaine, me dit-elle soudain.— Je n’en sais rien. Je fais ...
    ... ce que je peux mais ça ne rentre pas. Je n’ai jamais été attiré par tout ça. Je préfère la littérature et les langues. Elle se pencha vers son mari, lui chuchota quelque chose à l’oreille puis, tout simplement me dit : — Je vais m’occuper de toi. Nous partons après-demain à la mer. Si tes parents sont d’accord, tu nous accompagneras et je te ferai revoir tes maths. Comme je n’aime pas trop la plage, ce sera pour moi un passe-temps pendant que Robert ira à la pêche en mer, puisqu’il aime ça. C’est ainsi que je me retrouvai pour trois semaines dans la villa de Robert et Brigitte qui me prit réellement en main. Ce ne fut pas du gâteau, croyez-moi. Mais ce furent de belles vacances. Nous commencions à neuf heures, non-stop jusqu’au repas de midi. Puis une courte sieste et de nouveau jusqu’au souper. Mais cela n’avait rien de rébarbatif. Brigitte était très patiente, presque maternelle et au bout de quatre à cinq jours, je fus convaincu qu’avec un bon prof, les maths, c’était aussi chouette que « l’Anthologie de la poésie érotique » de Pierre Perret. Il faut dire que Brigitte savait y faire. D’abord, elle ne portait jamais que des petites robes très courtes et assez décolletées. Comme elle n’avait pas besoin de soutien-gorge, je n’avais pas à faire d’efforts pour plonger dans l’ouverture de sa robe et voir, à quelques centimètres de mes yeux une paire de seins superbes, bien hauts avec un bout gros comme une merise plantée au milieu d’une aréole large comme une paume de bébé. En ...
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