1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°684)


    Datte: 20/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... elle lui ordonne de lever la tête et d’ouvrir la bouche. Le soumis obtempère sans dire un seul mot de rébellion, comme si cette double pénétration dans ses deux orifices, l’avaient fait abdiquer de toute envie de se rebeller. Il est désormais doux comme un agneau. Alors c’est la bouche grande ouverte qu’il avale le contenu de spermes des deux préservatifs que Vanessa déverse dans la cavité buccale du jeune homme soumis. Puis sur ordre du Commandant, elle lui bande de nouveau les yeux, et l’amène jusque dans une cage. Là elle lui bouche les oreilles avec des boules caisses et un casque réducteur de bruit, s’assure qu’il ne voit en n’entend plus rien, puis lui attache les poignets dans le dos, avant de le laisser coucher sur une couverture… Après avoir refermé la porte, elle se met à quatre pattes et s’approche de son Maître, mais arrivée au centre de la pièce, il la stoppe. - Reste là, relève-toi et retire ta tenue, garde tes cuissardes. La jeune femme obtempère promptement, elle se place ensuite debout, jambes écartées, mains dans le dos, nue, seulement munie de ses cuissardes, dans l’attente du prochain ordre de son Maître. - Bien, il est temps pour toi de retrouver ta place, n’est-ce pas soumise ? - Oui Maître. - Et par quoi dois-je commencer ? - Par la sanction que je mérite, répond-t-elle. - Et que penses-tu mériter ? - 50 coups de cravache, affirme-t-elle prête à supporter la sanction. - 50 ? Pourquoi autant ? s’étonne Le Noble. - Parce que j’ai pris en compte le fait ...
    ... que Vous aviez mis à notre disposition une partie de vos esclaves et votre Majordome. Parce qu’il est indigne d’une soumise de repousser à plus tard les remerciements qu’elle doit à son Maître sous prétexte d’une fatigue relative. Parce que sans l’insistance de Votre ami, je fautais non par omission mais par fainéantise. - C’est très bien résonné, je t’en félicite, mais tu as oublié que tu avais avoué ta faute, et donc qu’elle était à moitié pardonnée, il me semble. A moins que tu n’avais évalué cette faute à 100 coups ? - Effectivement, j’ai oublié de la réduire de moitié, mais je ne suis pas certaine de mériter Votre clémence, Maître. - Peu de soumises auraient eu le courage d’avouer cette faute, la plupart l’auraient caché tout simplement. Donc ce sera 25 coups, mais ce ne sera pas la cravache, je vais te faire goûter aux délices du fouet. Comme pour toutes les punitions, tu comptes à voix haute, aucun autre son ne doit sortir de ta bouche, et aucun mouvement n’est toléré. Est-ce bien compris, demande-t-Il d’un ton très calme. - Oui Maître. Le Noble se lève et se dirige vers le placard du fond de la pièce, là il se saisit d’un long fouet tressé de cuir noir de toute beauté qui doit mesurer presque 2m, et se place à un bon mètre de la jeune femme. Vanessa craint cette sanction car elle sait que le fouet mal manipulé peut-être très dangereux, mais elle a confiance en son Maître, et se doute que s’Il l’utilise c’est qu’Il sait s’en servir, au vu de sa grande expérience de tant ...