Le mystère Steven
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
essayage,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
portrait,
humour,
inithf,
... coutures. Et je me sens déjà redémarrer, j’ai vraiment besoin de consistant. Je lui essuie le dos et les fesses, j’en profite pour le tripoter un peu devant. Je me sèche les cheveux pendant qu’il retourne dans la chambre. Je sors de la salle de bains pour voir Steven déjà habillé qui me glisse un bisou rapide en passant : — À demain, je me sauve. Il est 20 h ! J’ai déjà plus d’une heure de retard… Clac ! la porte se ferme et je reste seule, nue, la bouche ouverte, avec un caleçon boxer déchiré au pied du lit. Il me faut au moins cinq minutes pour accuser le coup. Pourquoi est-il parti en coup de vent, alors que la soirée câlins ne faisait que commencer ? Ai-je voulu aller trop vite, et l’aurais-je dégoûté ? D’un autre côté, ça fait quand même plusieurs jours que l’on se fréquente régulièrement, et nous n’avons plus quinze ans… De plus, avec son handicap de départ, si je n’avais pas pris les choses en mains, nous en serions encore aux bécots dans le fauteuil. Peut-être ne suis-je pas son type ? C’est vrai que j’ai un long nez, je suis trop grosse, mes seins sont trop gros, je ne suis pas blonde… Non, je dois avoir quelque chose qui les fait fuir, mais quoi ? Je passe la soirée à déprimer, seule dans mon lit. J’ai bien eu la tentation de boire un verre d’alcool, mais j’ai tout essoré la semaine dernière, après le départ de Max. Je dors. Je rêve que je suis avec Steven sur une plage déserte, il me caresse, se penche sur moi pour m’embrasser, son visage se déforme et c’est le ...
... gros du deuxième qui sort une longue langue baveuse… Je me réveille en sursaut. Je ne me rendors pas, je me tourne et retourne dans mon lit. 7 h 30. Je vais à la boulangerie, je m’offre un croissant et une tasse de café. Aujourd’hui, je refais le tour des agences d’intérim. 18 h. Je rentre chez moi, je ramasse mon courrier dans la boîte aux lettres. M. Gérard sort : — Un coursier est venu déposer un pli pour vous, j’ai signé à votre place. Je l’en remercie. M. Gérard attend visiblement que j’ouvre la grosse enveloppe. C’est une liasse de feuilles avec une convocation pour les cours du lundi. Je suis prise ! — Un petit porto pour fêter cela ? Je me laisse tenter, cela a l’air de lui faire autant plaisir qu’à moi que je sois prise, il doit probablement penser à ses futurs loyers. — Comme toujours, vous êtes en beauté ce soir. Bah ! au moins en voilà un qui n’est pas avare de compliments et qui ne reste pas la bouche ouverte en attendant mes initiatives. Cela me gène et me fait plaisir en même temps. — Ce n’est jamais qu’un jean et un pull, je préfère être à l’aise quand je visite toutes ces agences d’intérim.— C’est vrai que c’est plus pratique, mais moi je préfère quand même votre petite jupe de dimanche… Elle me faisait penser à l’été. Il a plus de soixante ans, je ne risque rien. Il a plus de soixante ans, je ne risque rien. Il a plus de… et puis mer…, je préfère les compliments d’un voisin de soixante ans à l’autre escargot de vingt ans qui se rentre dans sa coquille quand ...