Le mystère Steven
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
essayage,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
portrait,
humour,
inithf,
... café-taverne un peu plus loin dans la rue. Je m’assieds à une table d’où je vois la porte de l’immeuble. Je commande un café, et je patiente en lisant mon livre. D’un œil je surveille l’entrée de l’immeuble. Dix minutes avant l’heure, je le vois remonter la rue avec un bouquet de fleurs à la main. Qu’il est chou ! S’il croit m’amadouer en massacrant de pauvres fleurs dont les cadavres iront grossir mon sac poubelle dans deux jours… Je lis mon livre, un policier qui me tient en haleine depuis quelques jours. Midi, je regarde ma montre. Je pense que l’attente a assez duré. Je me lève pour payer, quand je le vois ressortir et venir par ici. Je m’assied. Il passe sur l’autre trottoir et s’en va. Décidément, la patience n’est pas son fort, il ne me mérite pas. Je vais au comptoir payer mon addition, je vais vite aux toilettes pour un besoin urgent, petit détour devant la glace, quelques retouches. Je sors et rentre chez moi. Tout en montant les escaliers, je me chauffe moi-même en imaginant toutes les tortures que je vais lui faire subir la prochaine fois qu’il tombera sous ma coupe. Ah, il va s’en souvenir de m’avoir gâché ma vengeance. Ah, je ne suis pas assez bien pour qu’on patiente une heure pour moi… Je déboule sur le palier pour trouver Steven avec ses fleurs et deux sandwichs. Il m’a attendu, il est juste allé chercher à manger. Je lui saute au cou et nous nous embrassons à nous incruster l’un dans l’autre. Oubliés les rêves de vengeance, tortures et autres gâteries. Nous ...
... ne prenons même pas le temps de rentrer dans l’appartement. Ses mains prennent des initiatives, elles me caressent sous toutes les coutures, elles trouvent même à dégrafer mon soutien-gorge, et mon pull passe par-dessus la tête. Cette fois il ne m’échappera pas, mes mains ont déjà ouvert son pantalon, je le baisse, lui sort le membre et me jette à genoux dessus. Je ne prends pas garde à la douleur du sol dur, ni aux voisins qui pourraient survenir, j’empale ma bouche sur son pieu, je le pompe comme si ma vie en dépendait. Cette fois, il ne sent pas le bouc, je pense même qu’il s’est parfumé là. Après une dizaine d’allers-retours où ma langue ne chôme pas, je sens son plaisir monter, alors que la lampe du palier se rallume. Il pousse des gémissements comme un chiot. Son plaisir envahit ma bouche alors que j’entends une conversation sur le palier au-dessus et que l’ascenseur passe le nôtre. Je déguste jusqu’à la dernière goutte son nectar. Tilt ! Nous sommes aux trois quarts nus et l’ascenseur va repasser devant nous avec plusieurs personnes. Panique ! Je me jette sur mon sac, trouve la clef, chipote trente secondes pour l’introduire dans la serrure, ouvre la porte et tire Steven, qui est toujours prostré. Juste au moment où apparaît le bas de la cabine, je pousse la porte. L’ascenseur passé, je pousse un grand souffle, j’espère qu’ils n’ont rien vu ou remarqué. Nous éclatons de rire. Je ressors et ramasse nos vêtements par terre. Nous mangeons notre sandwich. Nos sourires se ...