1. Le mystère Steven


    Datte: 25/05/2018, Catégories: fh, jeunes, bizarre, essayage, amour, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral pénétratio, portrait, humour, inithf,

    ... aussi s’égarent sous le maillot. — Retourne-toi. Je démarre par ses pectoraux, qui me font saliver, je me ré-excite un max, avant de passer à ses pieds, ses mollets, ses cuisses musclées. Je suis à cheval sur sa jambe et j’écrase ma moule sur sa cuisse, mon plaisir monte à nouveau. Ça y est, j’y suis… **/** Il est 6 h, on est dimanche matin et je me réveille avec un oreiller trempé entre les cuisses. Petit déjeuner rapide, douche, puis je m’habille pour aller au marché sur la place, près de la boulangerie. Il fait beau, et j’ai encore en tête mes rêves de la nuit. La place du marché est noire de monde, et je me faufile entre les échoppes plus par curiosité que par besoin. Me frotter à tout ce monde m’excite les sens, je suis jeune, j’aime la vie et je suis au soleil. C’est vrai qu’il fait chaud. Un marchand pakistanais vend des paréos et des mini-paréos à 10 €. Une folie, je sais que je ne devrais pas me laisser tenter, mais je sors le billet de 20 € de M. Gérard et regarde un mini-paréo. Quand le vendeur me propose de l’essayer, une chaleur, que je commence à connaître, m’envahit le bas-ventre et, alors que mon appartement est à 200 mètres, je passe dans la cabine faite de quatre morceaux de toiles suspendues. J’enlève ma jupe longue. Je me fais un peu peur en me disant que le vent va ouvrir les tissus et montrer mes fesses à la populace. Je m’entoure du petit morceau de tissu qui se superpose à peine et ferme par un lien en tissu. Je me trouve jolie. Je fourre mon gilet et ...
    ... ma jupe dans mon sac et je garde mon achat sur moi. C’est une première pour moi, une jupe qui reste au moins 15 cm au-dessus de mes genoux… Je sors et paie les 10 €, et je continue mon marché. La plupart des hommes que je croise ont les yeux fixés soit sur ma poitrine soit sur mes jambes. Quelques-uns accompagnés regardent ostensiblement le sol. Je prends une allée où il y a plus de monde, et me frotte à tous ses corps croisés. Je sens une ou deux fois une main sur les fesses. Je ne me retourne pas pour voir de qui il s’agit. J’ai les jambes qui flageolent. J’arrive à la sortie du marché, mon plaisir à fleur de peau. Je flâne en suivant la rue qui mène chez moi. Il est temps que je rentre car je commence à croire que je perds la tête. J’entends un bruit de pas et un sifflement derrière moi. Je me retourne pour voir un jeune homme, sale, avec un blouson en cuir qui me sourit, le regard pervers… — Ça te dit un petit tour avec moi ? J’ai envie de faire mieux connaissance. Je me sauve sans répondre, j’accélère le pas, il continue à me suivre. J’arrive à mon immeuble, rentre dans le hall avec le type qui me suit à dix pas. M. Gérard est dans le couloir en train d’arroser les fleurs. Je lui saute au cou : — Bonjour Papa… Bien fort, en lui faisant la bise puis je rentre dans son appartement qui a la porte ouverte. M. Gérard n’y comprend rien et je lui explique le jeune homme qui me suivait et ma peur qu’il entre dans le hall. Il sort, regarde dans la rue et revient en me disant que ...
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