Deuxième semaine (suite)
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
hplusag,
extracon,
cocus,
grossexe,
Collègues / Travail
fsoumise,
chantage,
noculotte,
double,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
extraconj,
... des légumes ou je ne sais quoi. On peut entendre l’eau couler ; elle est de trois-quarts arrière. Le papy, Michel, vient d’entrer dans le champ ; il s’approche doucement de Valérie sans faire de bruit. Une fois dans son dos, il passe les deux bras sous les siens et va se saisir de ses deux mamelons ; elle sursaute plus de surprise que de peur car elle ne se rebiffe pas. Aurait-elle l’habitude de ce traitement ? Il la félicite pour sa tenue : — C’est bien, tu as mis ma tenue préférée, coquine.— Je sais que cela vous fait plaisir, Michel. Il se plaque à elle et se frotte à ses fesses ; elle se tortille sur place mais continue ce qu’elle était en train de faire. — Laissez-moi travailler, je dois vous préparer le repas. Soyez sage ! Il lâche sa prise, ramène ses bras le long du corps de Valérie, s’accroupit légèrement et se saisit du bas de sa robe pour la faire remonter. On voit apparaître ses cuisses petit à petit, puis le bas de ses fesses pour finir par découvrir complètement ses deux globes magnifiquement dénudés car Valérie a omis d’enfiler une culotte, comme j’ai pu le remarquer ces derniers jours. — Tu n’as pas mis de culotte ; je ne veux plus que tu en portes quand tu viens chez moi, j’aime caresser tes fesses, elles sont si douces…— Je suis obéissante, vous voyez, et je sais que vous aimez les toucher. Il insinue une main entre l’évier et le ventre de Valérie afin d’y débusquer son bouton d’amour, se frotte toujours à ses fesses et continue de flatter sa poitrine de ...
... son autre main. — Arrêtez, Michel, vous me perturbez. Je n’ai pas que vous à m’occuper, vous allez me mettre en retard. Elle renverse la tête contre son épaule. Il est en train de lui faire du bien, le bougre, à ma Valérie ! Il profite de son laisser-aller pour finir de déboutonner la robe et écarte les deux pans de celle-ci qui lui tombe sur les épaules. — Fais-moi plaisir : enlève ta robe, j’aime trop te voir nue en train de me faire ma popote.— Vous êtes coquin, Michel, mais c’est demandé si gentiment…— Je vais t’aider. Il s’écarte un peu et lui retire les bras des emmanchures, jette la robe sur la table derrière lui et s’attaque à son soutien-gorge qui prend le même chemin, puis il la fait se tourner face à lui et s’appuyer dos à l’évier. Il s’agenouille, plonge la tête dans la fourche et entreprend de lui lutiner le berlingot. — Oh, Michel, vous êtes fou ! Oh, oui, c‘est bon… Elle apprécie, car d’une main elle s’accroche au bord de l’évier, et de l’autre le plaque contre son sexe en lui caressant la tête. On peut la voir se raidir, s’arc-bouter même, en se retenant à l’évier. — Oh, ouiiii… L’ancien a du métier ; il réussit en un rien de temps à lui décrocher un orgasme. Il se redresse et en profite pour lui taquiner les tétons ; elle glousse sous ses coups de langue. — À toi maintenant de t’occuper de moi. Elle se met à genoux et se charge de faire prendre l’air à Popaul. De beaux restes, le papy : une belle queue en tout cas, d’une taille qui semble plus qu’honorable, au ...