Un beau cadeau, une belle révélation - Histoires de Sexe

Un beau cadeau, une belle révélation

... d’ailleurs, pour moi ça valait largement un porno ! — Il avait prévu le coup et il a juste lancé la cam déjà en place. Alors… on s’embrassait, je le touchais, lui aussi, et j’ai commencé par le sucer, il avait une belle bite et il bandait fort, il adorait que je lui aspire le gland, alors je l’ai pris dans ma bouche, tout doucement, je sentais ses veines entre mes lèvres et sous ma langue, et je l’ai bien pompé… Oh putain, quel kif c’était de l’entendre me raconter ça ! Je priai Saint Numerik d’avoir bien enclenché le micro de ma propre caméra et que celui-ci ne soit pas trop loin… Mais Mélissa ne parlait pas bien fort, alors je profitai à fond du moment présent car ce serait peut-être la dernière fois qu’elle s’y prêterait… — … je me rappelle que je mouillais comme une folle, et j’avais qu’une envie : qu’il me prenne… Visiblement, et malgré sa réticence du début, ça ne semblait ne pas trop déplaire à ma miss qui, toujours empalée sur moi, se démenait sur ma bite comme une diablesse. Entre deux gémissements et tout haletante, elle continuait son récit… — … j’ai arrêté de le sucer, on s’est embrassés, longteeeemps. Il me caressait le dos, les seins, les fesses… et je suis venue sur lui, comme maintenant là, tu vois, et il m’a pénétrée, dans le vagin… Oh oui… il coulissait bien en moi, je le sentais bien dur, bien large, c’était bon… Les yeux clos, la bite tendue au maximum, je n’avais aucun mal à l’imaginer ; je connais par cœur son attitude pendant l’amour, et ces détails ...

... supplémentaires me satisfaisaient parfaitement. Seul point négatif : j’avais du mal à me construire une image nette du type en question, Emerick. Je l’avais juste aperçu sur une photo de groupe à la plage ; il se la jouait surfeur californien. Bref, je ne connaissais même pas son nom de famille, mais maintenant je savais qu’il avait apparemment une grosse bite. Son visage était flou, mais qu’importe : les images que je me créais étaient cadrées bien plus bas. — … et tu imagines pas comme il m’excitait ; je dégoulinais sur lui, je sentais sa bite taper au fond de moi, je me frottais le clito à son pubis, comme ça, comme ça… m’illustrait-elle en le reproduisant en live sur moi. Je lui susurrai que je n’allais pas tarder à jouir, ne voulant pas qu’elle-même reste sur sa faim après le beau cadeau qu’elle m’offrait là. — Ah ouais ? Tu vas jouir ? me dit-elle d’un air coquin et appuyant son rythme sur ma bite. Tu vas exploser en moi ? Humm, j’aime qu’on explose en moi… Et tu vois, ce soir-là, après qu’il m’a fait jouir sur lui, après deux bons orgasmes l’un après l’autre grâce à sa bite, il m’a prise à quatre pattes, et je le sentais accélérer, vite. Il me labourait, je sentais sa bite devenir encore plus raide et il a fini par m’en mettre plein la chatte. Imagine son sperme qui m’inondait et se répandait en moi… C’en était trop ! À ces dernières paroles, à l’image de la bite de son ex qui giclait en elle, j’éjaculai à mon tour en Mélissa, dans cette chatte qui avait vu passer tant ...