1. Quand Margot devient chienne 8


    Datte: 27/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    Le donjon.A son retour à la maison, Margot ne m’avait pas parlé du tout de ce nouvel « atelier ». Pour quelle raison ? Mystère ! A-t-elle eu peur ? Au contraire cela l’a-t-il excitée ? Je pense que c’est plutôt cette dernière option que je vais privilégier. D’ailleurs j’en ai eu confirmation avec le mail de « BHV ». Quelques explications et beaucoup de photos. Avec cet éclairage, je voyais un peu mieux ce qui devait se passer dans la petite tête de ma femme chérie. Et ça, c’était plutôt bon signe. « BHV » me disait justement que « nous » étions sur le bon chemin. Le « nous » me faisait plaisir aussi car depuis le début des séances de poses, même si j’avais des comptes rendus de la part des deux protagonistes, je me sentais quand même un peu exclu. Ce qui était le plus frustrant surtout, c’est de ne pouvoir encore avouer à ma femme que j’étais parfaitement au courant et que je rêvais de la voir se faire défoncer le cul par Karim ou qui elle voulait. Mais je devais rester en retrait pour l’instant et même, c’est de Margot que viendrait l’aveu de la soumission. « BHV » m’avait dit que cela faisait parti du dressage et de l’acceptation de cette soumission. J’attendais donc impatiemment ce jour béni. Enfin je l’espérais béni.Margot me disait juste que les poses étaient plus osées. Que Karim était toujours avec elle. Mais rien de plus, pourtant… « BHV » ouvrit la porte de l’atelier et fit sortir Margot. Ils redescendirent les marches de concert jusqu’au rez de chaussée et ...
    ... Bertrand lui fit voir une petite porte, un peu dans le renfoncement à gauche de l’escalier, à laquelle elle n’avait jamais fait attention. Karim arriva à ce moment là et nos trois compères continuèrent la descente ensemble. Arrivée la première au dernier palier, Margot stoppa devant une lourde porte en bois cloutée. Déjà que la descente dans cet escalier de pierre froide était lugubre, cette porte cloutée fichait le frisson. « BHV » lui dit de l’ouvrir et contre toute attente, la porte tourna sur ses gonds sont le moindre couinement. La pièce était plutôt sombre, Margot fit quelques pas avant que sa vue ne s’habitue à cette pénombre. Quand ce fut fait, elle s’arrêta net et se figea, bouche ouverte. Derrière elle les deux hommes l’observaient non sans un petit sourire narquois.Bertrand juste derrière elle posa sa main sur une de ses fesses et la poussa en avant.- Allez-y ma chère, visitez !Margot n’en revenait pas. Bien que faisant quelques petits pas, elle bougeait à peine, elle avait les yeux grands ouverts tout comme sa bouche qu’elle n’avait toujours pas refermée. Elle ne savait pas où porter son regard en premier. Ici, c’était le moyen âge ! Des armures en pieds. Au mur des épées, des hallebardes, des mousquets, des arcs, etc … Des poutres du plafond pendaient des chaines, des sangles de cuir, d’autres objets qu’elle ne saurait identifier. Au centre un grand lit rond recouvert de velours rouge. Dessus des objets que par contre là, elle connaissait très bien pour en avoir ...
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