Tu l'as cherché 14
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... parle, ma bouche n’est pas libre : - Ah! Oui, c’était toi. Ta bouche et ta façon de me laisser entrer, la chaleur de ton haleine et l’habileté de ta langue, je reconnais tout. Alors, recommençons c’est trop bon. Je réussis à glisser : - Mais, il ne faut pas, ce n’est pas bien. - C’est si bon, cela ne peut pas être mal. Oh ! Oui. Tu seras mienne. - Non. grreeu - Je tiendrai la place de l’infidèle. Je t’ai retrouvée, je ne te lâcherai plus - C’est folie. - Folie ou pas, je fais de toi mon assistante personnelle, mon bras droit. Désormais, tu travailleras directement avec moi, près de moi, mais suce, c’est fameux, oui... - Et Alain ? - Alain et tous les autres seront sous tes ordres. Plus profond… Tu aimes Gérard mélange tout, l'instinct sexuel, les sentiments et les promesses de promotion. Soudain il se retire, me soulève, me pousse vers mon lit. Je sens une main qui remonte le bas de ma chemise, qui atteint ma toison . Ses intentions sont claires et le doigt sur mon clitoris les confirme comme ses paroles: -Donne-toi à moi et tu auras tout ce que je possède. Une pression ouvre mes cuisses, facilement parce que je permets. Le gland humide et chaud vient chatouiller ma vulve, émouvoir l‘entrée de mon sexe. Mon beau-père se met en place pour me pénétrer, fait aller et venir son membre gonflé de sang sur mes lèvres excitées. Il croit avoir acquis le droit de me posséder en lieu et place de mon mari. Puisqu’il est son père, c’est naturel, c’est normal, qui d’autre serait mieux ...
... placé près de moi et plus efficace ? Il déraisonne, veut faire un petit frère à ce vilain fils, faire un petit frère avec moi. Pour cela il n'y a qu'une méthode. Il pousse, il commence à franchir mes nymphes mouillées de désir. Et pourtant, d’un coup de reins sec je lui fais rater la cible. - Non, Gérard. Pas aujourd’hui. Alain n’a pas encore fauté. Leur rendez-vous est pour demain seulement. - Tu te moques. Martine, m’as-tu dit, est sa maîtresse. Alors qu’attendons-nous pour te venger. Je t'en offre les moyens. - Rien n’est vérifié. C’est à prouver. Doris les surveille, demain nous saurons. - Tu te donneras à moi, demain ? Nous n’en sommes plus à 24 heures près. Allons, laisse-moi t’aimer toute une nuit - Demain, peut-être. - Comment, peut-être ? Vois, je meurs de désir. Es-tu insensible à mon amour, à ma virilité à mes promesses ? - Quelles promesses? Ces mots prononcés dans le feu de la passion ? Quelle valeur auront-ils demain ? - Tu ne me prends pas au sérieux ? Tu es dure en affaires. C’est vrai, je le constate chaque jour. Tu sais obtenir ce que tu veux. Laisse-moi t’embrasser au moins, sur tout le corps et je te rédige aussitôt les documents qui t’installeront à la place promise. - Je ne veux pas te faire chanter. Embrasse tout ce que tu veux, mais, ce soir, pas de pénétration, c’est prématuré. Gérard comprend vite et se lance aussitôt dans l'exploration Quelle imprudence je viens de commettre! Me voici culbutée sur mon lit, pattes en l’air, les chairs dévorées, ...