La Belle Noiseuse
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
fh,
copains,
poilu(e)s,
campagne,
telnet,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
Masturbation
Oral
pénétratio,
amiamour,
... non seulement mes seins sont pas mal dévoilés sur l’intérieur, mais aussi le bas me rentre pas mal dans les fesses ! (Elle ne manqua pas d’anticiper ma demande et m’envoya une photo instantanément.)— En effet ! ça te dévoile la moitié de tes jolies fesses ! Elles ressemblent d’ailleurs à celles d’Emmanuelle Béart dans « La Belle Noiseuse » !— Carrément ? Emmanuelle Béart ? Connais pas ce film. Forcément, pris par ces échanges originaux et parfois très excitants, je me prêtais aussi au jeu et sachant qu’elle aimait particulièrement les boxers, caleçons et maillots de bain, à chaque fois que je tombais sur un de ces vêtements en magasin je l’achetais juste pour poser avec, tout comme elle le faisait. C’était du coup une excellente façon de mieux se connaître et faire accentuer l’attirance physique. Certains boxers en tissu de type acrylique étaient suffisamment légers, dont un en particulier que j’avais trouvé dans un magasin de discount, certainement fabriqué en Chine, tissu de piètre qualité de couleur blanche, avait des bandes plus ou moins transparentes et ne pouvant donc pas cacher la forme, mais aussi la couleur de la peau de mon sexe tout entier. Je lui envoyais cette photo après hésitation. — J’espère que celle-là tu ne vas pas la poster sur ton Facebook ! J’avais jamais vu un boxer aussi sexy !— J’ai hésité à te l’envoyer, mais c’est le jeu ! On doit s’envoyer une tenue choisie par semaine ! Les Chinois étaient sûrement à court de tissus ! Tu verrais la légèreté de ce ...
... tissu !— Oui il a l’air léger, mais en tout cas tu as une belle petite queue ! Elle n’est pas très poilue apparemment ?— Non effectivement, hormis un peu sur le pubis, j’ai quasiment pas de poils. Ces échanges ont duré plusieurs mois. Un jour, Marion m’envoie un message me demandant si je voulais bien venir l’accompagner à Manosque pour aller nettoyer la maison de ses grands-parents dont elle avait hérité quelques semaines auparavant, en vue de la revendre. Cela ferait occasion de se rencontrer enfin en vrai. Et étant donné que je lui avais révélé que je bricolais pas mal à mes heures perdues, pourquoi pas mêler l’utile et l’agréable ! J’avais un de ces tracs le jour où je suis allé la prendre chez elle. Nous n’habitions finalement qu’à une petite vingtaine de kilomètres l’un de l’autre. Elle habitait dans un petit lotissement dans lequel toutes les maisons jumelées se ressemblaient toutes. J’arrivais avec un peu d’avance sur l’heure fixée au départ. Je sonnais et quelques secondes après, Marion se tenait derrière le chambranle, en peignoir, les cheveux entortillés dans une serviette. — Hey ! Jérôme, je suppose ? Entre ! Tu es en avance ?— Euh ! oui, finalement nous n’habitons pas si loin l’un de l’autre et vu que je déteste être en retard… Mais je peux attendre dans la voiture si tu veux !— T’inquiète ! Vas-y, entre, je vais finir de me préparer. Ma valise est prête, mais je finissais de me laver les cheveux. Je remarquais son joli décolleté se former au fur et à mesure que ...