Un bienfait n'est jamais perdu - 2°partie
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
ffh,
grp,
fbi,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
... pas trop d’humour - enfin je crois, et jusqu’à maintenant, ça va ! Les autres sont silencieux et Paul me dit de parler le moins possible pour profiter au maximum des sensations en me laissant aller aux mains inconnues qui ont une façon bien agréable de faire connaissance. Je me dis qu’il n’y a pas de raison de me retenir et j’explore à mon tour ce qui passe par ma portée. ON apprécie semble-t-il, et ON me laisse agir. Conclusion de mes contacts, il y a un autre homme et une femme. Avec Paul, ils sont donc trois autour de moi. Je ne vais pas m’ennuyer mais vais-je être à la hauteur, et si je les décevais ! Les choses ont duré longtemps, longtemps et se sont passées avec douceur et comment puis-je vous le dire gentiment : avec fermeté et compétence. La femme a d’abord a été douce, inventive, me faisant ce que je lui demandais pour que, probablement, je n’aie aucune réticence à faire plus tard ce qu’elle attendait de moi. Je vous avoue que quand on me demande quelque chose aimablement, je le fais ! Donc, avec certainement pas mal de maladresse, je me suis appliqué, mais elle n’a pas été très satisfaite. Aïe… Alors, Hillevi (ce n’est que plus tard que j’ai su son nom), s’est mise à me parler. Enfin à me dire des choses dans un langage imagé, sévère et sur un ton «assez sec«, aussi sec que l’accessoire qu’elle portait devant elle au bas du ventre. La dite chose, devenue très vite lubrique (pourquoi me goure-je, je voulais dire lubrifiée), a commencé une existence indépendante ...
... : elle a d’abord trans-formé (ah, ah) cette dame inconnue, l’a trans-scendée et finalement… m’a trans-percé ! Comme l’exercice ne s’était pas terminé par l’explosion attendue de l’officiante, j’ai ressenti comme un abandon (un retrait quoi) de l’accessoire en question. Le surprenant instant d’inaction qui suivit, fut suivi par la recherche d’une posture bien désinvolte de la dame, laquelle s’est assise (ou plutôt empalée) sur mon arbre de vit (sic !). Dans un tressautement d’amplitude verticale étonnante, un cri bestial peu compatible avec une personne bien élevée me fit imaginer que le visage d’Hillevi venait enfin de connaître ce que trans-figuration veut dire ! Exit la dame, épuisée par l’effort. Quant aux deux hommes, le chemin étant tracé, ils l’ont «emprunté« et ce jusqu’à y laisser éclater à grands coups de «oh et de ah«, l’explosion d’un flot trop longtemps retenu. J’étais comblé. De plus, le Viagra, me donnait une résistance qui, sans aller jusqu’au priapisme faisait le bonheur de mes jours et la joie de ceux qui m’entouraient. Dans ces conditions, étant resté sur ma faim, j’ai à mon tour, et pour la première fois de ma vie, pu rendre la pareille et emprunter le chemin des étoiles en m’envoyant enfin en l’air. Dans lequel des deux, je ne sais pas ? Mais j’avais failli attendre… Cette petite sauterie (si je puis dire), a bien duré deux ou trois heures. Repus, épuisés et enfin calmés ils m’ont enlevé la cagoule et Paul m’a présenté à son frère et à sa Suédoise de ...