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La femme de mon employé, partie 3
Datte: 28/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... bon. Si tu savais combien de fois j’ai imaginé ce moment… Elle me suce très lentement, serrant fort ma queue entre ses lèvres et laissant sa langue courir le long de ma verge. Je glisse ma main entre ses cuisses et entre deux 2 en elle. Aussitôt elle se tend vers moi et je fais bouger mes doigts en elle. Et plus je la doigte, plus elle me suce fort. Je deviens fou de plaisir. J’entame un doux va et vient dans sa bouche. - Viens, j’ai envie d’être en toi… A peine a-t-elle relevé la tête que je la pousse en arrière pour me mettre au-dessus d’elle et la pénétrer d’un coup. Elle émet de petits gémissement de plaisir chaque fois que je donne un coup de rein. Je me mets à genoux entre ses jambes et prends ses dernières pour les poser sur mon épaule droite, m’offrant une pénétration à la fois plus profonde et plus étroite. De mon pouce gauche, je joue avec son clitoris. Après quelques minutes, elle jouit longuement. - Tu as envie de quoi ma puce ? Je lui demande. - De toi dans ma bouche. Je suis surpris de tant de provocation dans voix… - Alors allonge toi sur moi, que moi aussi je puisse te goûter à nouveau, je lui ordonne. - Non, tu me feras un cunni une autre fois… là j’ai envie de te sucer et que tu en profites pleinement jusqu’à me gicler dans la bouche. Et elle ne me laisse pas le choix : elle engloutis aussitôt ma queue dans sa bouche ...
... et la suce jusqu’à me faire jouir. Elle s’allonge ensuite à côté de moi, la tête sur mon ventre. - Tu sais, c’est pas parce que je suis mal à l’aise que tu me voie nue alors que je pense que tu pourrais te taper une putain de bombe, que je suis une mijorée. Je suis très a l’aise avec le sexe, j’aime beaucoup ça même. - J’ai remarqué ça. Et sache que tu m’excites énormément quand tu me tiens tête… je te dis pas le nombre de fois où tu m’as fait bander juste parce que tu ne voulais pas te conformer à mes intentions. - Alors va falloir que je fasse ma tête de mule encore plus souvent dorénavant. - Je demande que ça… je réponds en riant. Après quelques instants de silence, j’aborde un sujet un peu plus délicat. - Dis, au magasin je ne leur ai pas dit que tu étais venue t’installer ici. Et je n’ai pas envie de me cacher si on essaie de voir où ça peut nous mener tous les deux. Du coup je voulais savoir si tu étais d’accord que je leur dise… - Tu peux tout leur dire. Tu avais raison le jour de l’enterrement. On s’en fout de ce que pense les gens. Ne leur parle peut-être pas du mois où tu me faisais chanter, tu risques que de passer pour un connard, ce que tu étais… - J’adore tes compliments… mais tu n’as pas tort, j’ai peut être un peu abusé… mais je compte tout dire à mes parents… je ne leur jamais avouer la vérité … je la leur dois bien…