Une gentille fille
Datte: 28/05/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
laid(e)s,
Masturbation
Oral
pénétratio,
... seins plats comme des assiettes se relevaient comme si on avait tiré dessus. La salope, elle allait jouir… et moi aussi, mais pas dans elle !! Puis je vis son corps se tendre et je sus que c’était le moment… pour moi ce fut une giclée de célibataire, mais pour elle mes amis, la jouissance comme on n’en fait pas, son corps vibrait, ses jambes allaient et venaient, s’écartaient, se resserraient, sa tête frappait le coussin, enfin le grand jeu, comme si elle avait su qu’elle avait un spectateur. Elle resta ensuite quelques minutes sans bouger, puis se leva pour éteindre sa télé. Puis elle quitta la pièce en éteignant la lumière. Je n’avais plus qu’à aller me coucher. Il ne me restait plus qu’une chose à faire, sa connaissance. Et d’abord savoir qui elle était. Le lendemain donc, en discutant avec un autre voisin, je dis sans avoir l’air de rien : — On a un nouveau voisin, j’ai vu les fenêtres ouvertes.— Oui, c’est une femme, elle a emménagé quand vous étiez en vacances.— Ah bon, que fait-elle ?— Instit, je crois.— Elle vit seule ?— Oh oui, et quand vous la verrez, vous comprendrez pourquoi, maigre comme un clou… (Suivit la description de ma belle).— Si moche que ça, vous exagérez !— Non non, vous verrez, sèche comme une trique et pas l’air marrante du tout.— Elle est peut être sympa tout de même, il faudrait que je me présente, par politesse…— C’est sûr, vous êtes son plus proche voisin, mais pour la bagatelle… Il rigolait comme un bossu, le brave homme. Quant à moi, ...
... hypocritement je me dis que si on me voyait aller chez elle, on penserait seulement que j’étais poli. Mon voisin était un vrai concierge et il expliquerait volontiers que j’étais un charmant jeune homme faisant preuve d’hospitalité !! Le soir donc, vers 7 heures, j’allais sonner chez la voisine. Elle ouvrit la porte et me jeta un regard vide. — Oui…— Je m’excuse de vous déranger, mais je suis votre voisin et j’ai pensé qu’il m’appartenait de me présenter, entre voisins, on peut avoir besoin l’un de l’autre…— C’est vrai, entrez donc. Elle me donna son nom, je lui donnais le mien, le tout sans un sourire de sa part. Un visage totalement fermé. Vu de près, sûr elle ne cassait rien, des cheveux ternes, des yeux ternes, une peau blanchâtre. Elle portait un débardeur qui mettait en valeur, si je puis dire, ses salières et la maigreur de ses bras. Si je ne l’avais pas vue nue, je n’aurais même pas imaginé qu’elle avait des seins ! Elle se retourna pour me monter le chemin vers sa salle de séjour. Elle portait un petit short qui aurait du être moulant, mais qui n’avait rien à mouler. Pour moi, c’était le pied, des jambes maigres au possible, des cuisses creuses et pas de cul ! Bien sûr, à part quelques banalités sur nos occupations professionnelles et sur le temps qu’il faisait, nous n’avions rien à nous dire et elle ne faisait pas grand chose pour entretenir la conversation. Nous sirotions notre apéro en mangeant des amuse-gueule. — Alors comme ça, nous voilà voisins, mais vous étiez où avant ...