1. La Première


    Datte: 29/05/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, fsoumise, hdomine, soubrette, vidéox, photofilm, facial, Oral pénétratio, fsodo,

    ... jouir sur son visage sans qu’elle ne le touche ni que lui se masturbe ! Jamais ça ne marcherait, ça ! Pourtant, Carole voulait réussir la scène. Elle voulait surprendre le scénariste qui venait de la tourner trois fois avec des actrices et des acteurs différents, et rien ! De la pellicule gâchée ! Les filles attendaient, les acteurs se concentraient, mais pas la plus petite goutte de sperme ne sortait. Elle se coucha en y réfléchissant, elle devait y arriver… elle devait… elle devait… Ses rêves furent agités. Mais elle se réveilla en espérant avoir trouvé peut-être la solution. Elle alla trouver le scénariste le lendemain et lui demanda que Sylvie fasse partie de la scène, mais également de façon passive. Il la regarda bizarrement, mais accepta. Cette scène commençait à lui coûter un peu cher, et il envisageait de l’abandonner. — Non, faites encore un seul essai avec moi, je veux essayer aussi. Maugréant d’avoir encore à payer une actrice de plus, il accepta en bougonnant. Peut-être rentrerait-il dans ses frais cette fois… Le jour dit, Carole se présenta, suivie de Sylvie qu’elle embrassa sur les lèvres. Une solide complicité s’était développée entre les deux femmes. Sylvie fut rapidement mise au courant de la tactique à employer par Carole, elle en frissonna de plaisir, cela pouvait marcher ! Les deux filles se retrouvèrent nues sur le plateau. Un nouvel acteur surgit bientôt d’une cabine, et le scénariste leur réexpliqua la scène. Le garçon regardait les filles, un peu ...
    ... désappointé, se demandant comment il parviendrait à jouir dans ces conditions. Grand, mince, il avait un charme certain. Sylvie s’assit nue sur une chaise, et l’acteur, debout, prit position à côté d’elle. Les caméras prirent place, filmant chacun des acteurs. Personne ne bougeait, c’était une scène qui devait s’exécuter sans un seul mouvement, et en une seule fois. Le ronronnement des machines commença. Grand calme. Puis Carole entra dans le champ des caméras et s’agenouilla devant l’homme. Sa verge n’était pas vraiment en érection et pendait vers le bas, le gland recouvert. Carole la regarda, puis elle plongea son regard dans les yeux de l’acteur. Lentement, elle se passa la langue sur les lèvres, ouvrant la bouche puis la refermant doucement. Ses yeux ne quittaient pas la queue. L’homme la regardait, se demandant comment il pourrait jouir comme cela, sans attouchements. Mais Carole prolongeait le jeu, elle fixait dans les yeux puis reportait son regard sur son sexe. Celui-ci frémissait, il lui en fallait plus, alors elle mit à exécution ce qu’elle avait imaginé la nuit. — Espèce de salaud ! Bande ! Dresse ta queue, je veux voir ta bite raide ! Ces quelques mots réveillèrent l’ardeur de l’homme, et sa queue se mit lentement à frémir. Carole la voyait se dresser lentement. Sylvie riait sous cape ! Là ! Comme elle était partie, elle le ferait juter ! L’acteur regardait le corps de Carole, suivait ses courbes, s’attardait sur ses seins, sur la fente entrouverte de son sexe. — T’as ...
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