1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°829)


    Datte: 29/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Il appuya sur un bouton, ce qui fit monter le siège de fanny et détendre les chaînes fixées à ses tétons. Il arrêta la montée de la balancelle quand le sexe et les fesses de la soumise furent à hauteur de la bouche du Marquis. Ainsi il n’avait pas besoin de se baisser pour commencer le sulfureux léchage de langue qu’il entreprit dans le sexe de fanny déjà bien trempée. Il s’attarda longuement sur son clito , le fit sortir de son capuchon, enfonça sa langue dans les parois des lèvres puis du vagin. Ecartant de ses doigts les lèvres qui prenaient du volume. Les spasmes redoublèrent encore. Le Marquis était un expert en la matière et les gestes buccaux et manuels étaient précis. Pendant qu’il s’activait, il entreprit de lui doigter l’anus afin de le dilater pour la suite et c’est dans des gémissements de plus en plus accentués que fanny multiplia les orgasmes qui se succédèrent à un rythme effréné. Elle ne retint aucun cri et laissa exploser sa jouissance en de puissants râles et cris de bonheur. Puis le Marquis s’arrêta, laissa fanny reprendre son souffle, pendant qu’il alla chercher une espèce de raquette de ping-pong mais avec un manche un peu plus long. Il fit descendre un peu la balancelle et une fois à la bonne hauteur il entreprit de faire rougir les fesses de fanny. Il frappa en des coups réguliers une fesse puis l’autre. La soumise criait mais ça l’excitait tellement qu’elle disait : ‘‘Plus fort Maître oui encore … » Alors le Marquis frappa et frappa encore sous les ...
    ... yeux des soumis attachés qui bandèrent de plus belle. Les cris, la jouissance provoquée par le plaisir ressentie par la femelle, redonna de la vigueur au Maître qui stoppa les coups et abaissa à la hauteur désirée le siège. Puis sans prévenir il la pénétra d’un coup en de forts coups de reins : -Tu voulais que ton Maître soit le premier à te baiser, chienne de rue, et bien voila, la pute est servie … Et il redoublait ses assauts, elle était possédée très profondément et de sa mémoire n’avait encore jamais ressentie de telles sensations. Il lui doigta de nouveau l’anus tout en la baisant comme une chienne en chaleur. Elle criait de plus belle son bonheur d’être ainsi pénétrée, sauvagement, puissamment à la hussarde. Quand le Marquis décida de changer d’orifice, il l’a sodomisa quasi bestialement. Elle ne put retenir un cri de douleur, le sexe énorme dans son fondement certes dilaté mais pas suffisamment pour accueillir ainsi une volumineuse verge regorgeant de raideur. Mais les premiers cris de douleurs se changèrent vite en cris de jouissance tant l’excitation était à son zénith. Au bout de plusieurs minutes de ses vaillants assauts le Marquis se mit de nouveau à éjaculer en de longs râles mais en elle, il ne se retira pas en un coït profond. Fanny hurla son orgasme mais un orgasme différent des autres, c’était un orgasme anal, le premier de sa vie mais d’une puissance tel qu’elle ne sera pas prête de l’oublier. Au bout de plusieurs minutes en coït immobile, tout deux reprirent ...