Vu sur le net petplay
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... des clochettes afin de faire du bruit lorsque la ponygirl caracolait dans les rues. Les bras de la fille poneys étaient enfermés dans des gants terminés par des sabots ceux-ci étaient libres ou réunis entres eux selon les préférences du client. Un large collier était fixé autour de cou afin qu’elle garde toujours la tête haute. Enfin, une bride et ses accessoires étaient installés. Un tube de métal recouvert de caoutchouc était installé dans la bouche de la ponygirl et fermé hermétiquement derrière sa tête. Une muselière était fixée afin de donner à la fille l’apparence d’un poney. Ses cheveux étaient reliés par un anneau en arrière de la bride, pour lui donner un style de queue de cheval. Enfin, un support de plumes était installé sur le dessus de sa tête, pour permettre au propriétaire d’installer les plumes de leur choix. Une fois que la Pony était équipée, elle était amenée à une machine de marche, où, pendant un mois, elle apprenait à marcher, au trot, au galop, et à dormir comme un esclave ponygirl. Quand son éducation était terminée, elle était amenée à un côté du magasin, où elle était placée dans une vitrine et mise en vente. Les esclaves doggy étaient ses favorites à équiper. Une esclave doggygirl devait être placée sur les mains et les genoux, dans un costume de latex. Les couleurs et les motifs les plus souvent utilisées étaient un imprimé dalmatien, noir, brun ou rose, mais les futurs propriétaires pouvaient choisir un costume totalement différent pour leurs ...
... animaux domestiques. Lorsqu’elle était placée à 4 pattes, les bras de la jeune fille et les jambes étaient repliées de sorte qu’elle était forcée de se tenir sur les genoux et les coudes. Les mains étaient alors tirées vers le haut. La tenue en latex la forçait à maintenir cette position. Le costume rendait les seins de la jeune fille, son cul, sa chatte toujours visibles, rendant ainsi la position à 4 pattes d’autant plus humiliante. Comme humiliation finale, le costume de latex était muni d’une queue qui, malgré toutes les pressions, revenait à une position verticale montrant en permanence le sexe de la jeune fille. Une fermeture éclair était présente du haut de la combinaison jusqu’au cul de la fille. Le premier accessoire était une muselière. Celle-ci était conçue afin d’éviter de parler tout en permettant de manger de boire et de pouvoir lécher les sexes et les chattes. Une fois les sangles de la muselière fixées sur la tête de la jeune fille, ses cheveux étaient tirées en tresses, et la cagoule en caoutchouc de la combinaison était glissée sur sa tête et fermé par une fermeture à glissière. Après être habillé, la nouvelle chienne était entrainée pendant un mois afin d’apprendre à bouger comme une chienne. Après quelques mois, elle était mise en vente dans une des cages de la vitrine, où elle était empalée sur un gode jusqu’au moment où elle était vendus à un nouveau propriétaire. Le stock de Mike était actuellement de 25 chiennes et de 15 ponys. Dans les périodes de ...