1. La mère de ma petite amie


    Datte: 29/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... toujours très souriante avec moi. Bien évidemment je trouvais que c’était vraiment une belle femme pour son âge, et je ne comprenais pas que Jacques ne soit pas plus soigneux avec elle, mais bon. Je ne cache pas que parfois, au bord de la piscine, j’admirais ses formes derrière mes lunettes de soleil, faisant semblant de lire. Je veillais à ne pas avoir d’érection visible, mais Catherine était décidément le stéréotype du fantasme de la femme mûre que l’on aimerait tous avoir au moins une fois. Le genre de fantasme que l’on a tous un jour plus ou moins eu, mais dans mon esprit il était évidemment impossible que cela dépasse le stade du fantasme… Un soir au milieu du séjour, nous sommes allés tous les quatre dîner dans un restaurant sicilien. Certes la cuisine sicilienne me régalait, mais ce soir-là c’est surtout Catherine qui occupait mes pensées. Je l’avais vue toute la journée en maillot de bain, et je n’avais fait que penser à elle quand Magali et moi avions fait l’amour sous la douche avant d’aller dîner. Elle avait un débardeur blanc, qui laissait à travers le tissu se dessiner son soutien-gorge, une petite jupe noire qui lui arrivait à mi-cuisse, et d’adorables petites chaussures à talons. Ses chaussures lui conféraient une démarche terriblement sexy car elle était bien cambrée. Au moment de partir, Magali, toujours un peu de mauvaise humeur, décide de monter à l’avant. Je me retrouve donc à ouvrir la portière à Catherine pour la faire monter. Elle s’assoit en me ...
    ... souriant et en me remerciant, et je regarde très furtivement ses belles jambes nues s’aligner sur la banquette avant que je referme. Cette vision était déjà un merveilleux cadeau, et je bouillonnais intérieurement à l’idée que nous allions faire 15 minutes de voiture ou je pourrais les regarder discrètement de temps en temps. Je fais le tour de la voiture, et viens m’asseoir. Jacques démarre et nous partons. Le soleil est encore haut et j’ai mes précieuses lunettes de soleil, indispensables pour m’offrir cette vision providentielle. Nous discutons tous gentiment, mais je ne cesse de jeter des coups d’œil à Catherine. La position assise a fait légèrement remonter sa jupe le long de ses belles cuisses, et je vois ces longues jambes, là, à 50cm de moi. Je rêve de doucement venir effleurer ces jambes de ma main, mais je me contente de l’imaginer. Une chaleur ne tarde alors pas à me donner un début d’érection. Je porte un pantalon d’été et un caleçon en dessous, je me dis donc immédiatement qu’il faut me contrôler pour ne pas me faire découvrir. Mais je réalise vite qu’il est plus difficile que d’habitude de contrôler ce durcissement de mon sexe, surtout que je n’arrive plus à détourner mon regard des jambes de Catherine. Je tente alors de croiser les jambes, sans trop de succès. Catherine a alors un regard vers moi, se demandant ce que je fabrique. Et à ce moment-là, j’ai l’impression qu’un furtif coup d’œil de sa part en direction de mon entre-jambe lui fait comprendre mon malaise. ...
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