1. Le messager grec 1


    Datte: 29/05/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... tandis qu'elle léchait mes pectoraux impeccable et mes abdos d'Apollon. Puis elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une exquise fellation qui m'excitait d’autant plus qu'elle était habillée et moi nu. Elle allait lentement, s'arrêtant pour me lécher le reste du corps tout en me branlant. Quand elle sentit que j'étais enfin prêt pour la suite des choses elle me renversa sur la mousse qui recouvrait les rochers et s'assit sur moi. Je poussais un hoquet quand elle m'enfonça en elle d'un seul coup puissant, puis elle se mit à se déhancher, laissant ses cheveux blonds voltiger pendant qu'elle se trémoussait comme une furie. Entre le soleil brulant et la mousse fraiche je ne tardais pas à éprouver beaucoup de plaisir, emprisonné dans ses cuisses blanches si douce. Bien décidé à agir moi aussi je décidais de lui enlever sa tunique pour pouvoir accéder à tout son corps mais elle plaqua mes mains au sol et s'agita de plus belle, me faisant perdre la tête. -Pas cette fois mon beau hoplite.....hum oui....oh que c'est bon.......Le reste sera.....han han......plus tard....oh par Aphrodite ! -Pas....humph...cette fois ?.....aaah...con...ti...nue....oui ! -Tu repasseras...oui...oui....mon beau messager ?...ah....ah.....AH ! J'aurais voulus répondre mais je ne pouvais pas. Sa langue laissait des sillons frais sur ma peau et ses mains se mirent à caresser mon corps avec une telle vigueur que j'en étais paralysé. Lassé elle décida de changer et se mit à faire des vas et viens sur mon ...
    ... sexe. Sa tunique m'empêchait de voir mon membre viril en elle et je décidais de la prendre par les hanches, à la fois pour accompagner son mouvement et pour tenter de soulever légèrement sa tunique. Enivré parle plaisir je réussis à glisser mes mains sous sa tunique et je caressais son ventre et le bas de ses seins que je devinais lourd. Puis je la saisit fermement et lui fit accélérer la cadence à une vitesse folle Nous étions complètement déchainé, la sueur coulant de nos corps rendaient notre peau si glissante que nous éprouvions encore plus de plaisir. -Ah oui hoplite...oui...oui....oh t'arrêtes pas ! Han....han....han....plus fort....ah..ah..ah.....OOH ! Elle tomba sur moi, morte de fatigue. Ses lèvres cherchèrent les miennes nous sommes restés comme ça quelques instants. -Eh bien tu es aussi viril qu'Héraklès. Elle regarda sa tunique trempée de sueur qui lui collait à la peau, moulant son corps. Allons dans la rivière, je te promet une jouissance comme tu n'en à pas connus. Je ramassais ma tunique mais restais nu, ma verge fièrement dressée à sa vue. Elle me masturbait délicatement pour me maintenir en condition, sans aller trop intensément pour éviter que je jouisse trop tôt. Elle se coucha dans l'eau et laissa le courant la laver de la sueur. Puis elle abandonna brièvement mon sexe pour laver ma tunique qu'elle jeta ensuite sur l'herbe. -Viens beau platéen, viens en moi. Elle écarta ses cuisses, prête à me recevoir. Incapable de résister plus longtemps à l'appel de mon ...