1. Épouse e t pute


    Datte: 30/05/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Au départ ce fut comme un jeu. Le temps augmente nos vices. Après un certain âge on devrait couper la tête des vieillards. Rassurez-vous à cinquante je pouvais me considérer encore en la force de l'âge. Cependant j'avais pris goût aux femmes tournant à toute occasion cochon. Usant et abusant sans vergogne de ma situation voire de mon statut. Le délit de harcèlement faisant feu de tout bois ne m’avait pourtant guère touché. Au contraire je jouais d'autant avec le feu que je savais cette épée de Damoclès sans cesse sur ma tête. Je roulais à tombeau ouvert vers un hypothétique précipice.Cette fois je fis fort. Je ne m'engageais pas moins à trahir un de mes meilleurs amis. Le pauvre n'en a jamais rien su. Même il n'a point assez de louanges aujourd'hui pour moi. Il crie partout que je lui ai sauvé la mise. La charrette de licenciements auquel il semblait voué lui a été épargné. Il ne s'est jamais avisé l'imbécile de demander à sa femme le fin mot de l'histoire. J'évite de croiser à présent cette dernière. Elle me déteste à juste titre. Un temps j'ai cru qu’elle chercherait réellement à se venger et me nuire. Peut-être croit-elle que j'ai pièce encore sur son mari. Nous en sommes restés là.Outre que je méprisais le mari, je convoitais depuis longtemps sa femme. Au premier abord cette quadra n'était plus de toute fraîcheur et aurait du m'indifférer. Juste devais-je lui concéder le charme et l'intelligence de la maturité rayonnante. Pour le reste elle vous écrasait de sa ...
    ... supériorité. Genre femelle dominante. Bref une chieuse. Sur le plan de la beauté, beaucoup pouvaient lui en remontrer. Visage banal, elle n'en arborait pas moins une crinière dense et un œil non moins empli de magnétisme. Surtout un corps de feu, celui d'une panthère impérieuse lorsqu’elle déambulait.Quelle ne fut mon étonnement et mon dépit lorsque par témoignages concordants j'eus la certitude absolue qu’elle couchait et cocufiait à tout-va son mari, mon grand ami devant l'éternel. Je la croyais toute dévolu à son travail et à ses dossiers et assez méprisante pour ce qu'on appelait la bagatelle et auxquels tant dont moi sacrifiaient. Elle était descendue du piédestal pour nous rejoindre, humbles mortels. Elle se vautrait ainsi dans la tourbe, le stupre s'anonymisant avec nous. Tout cela eût du à la fois me rassurer et me réjouir. On n'aime rien tant qu'une excellence qui déçoit.Ma colère s’adressait à moi qui avait été une dupe. Pourtant j'avais maintes fois détecté une garce. Je savais qu'il fallait se méfier de cette eau qui dort et qu'une supposée frigide pouvait receler des fois un volcan. Mon flair avait été déjoué. J'avais trop cru à son mari, mon ami qui se plaignait assez que les galipettes entre eux deux avaient depuis longtemps été abandonnées au point qu'il était allé voir ailleurs et quand je lui rétorquais : « N'as-tu pas peur d'encourir la même sanction ? « Il répondait narquois : « Elle ne bande que pour ses dossiers. J'ai épousé un bourreau de travail ».Dépositaire de ...
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