Rencontre dans les bois
Datte: 30/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Promenade dans la forêt des Alinettes Je me promène seul dans les bois et rencontre un groupe de jeunes femmes par ailleurs très jolies, elles me demandent si je ne pourrais pas uriner devant elles, car chaque fois qu'elles ont vu cela l'homme avait le dos tourné et elles rêvent de voir la chose plus en détail. Je dis : “d'accord, et si vous voulez tous les détails je veux bien me mettre tout nu pour le faire”, leurs visages s'illuminent alors devant cette offre inattendue et dépassant leurs espérances. Elles m'emmènent dans une petite clairière en dehors du chemin, au centre de celle-ci le soleil brille encore de tous ses feux et l’herbe est même un peu roussie par la sécheresse des derniers jours, je pose mon sac de voyage entre deux arbres à la lisière semi-ombragée où le sol semble encore un peu humide bien que déjà recouvert d’un léger tapis de feuilles mortes. Ma respiration s’accélère un peu et mon coeur bat plus vite à l’idée de ce que je m’apprête à faire pour elles, mais je n’ai pas le temps de choisir l’endroit ni la méthode: elles sont tellement pressées du spectacle qu'elles commencent à me déshabiller elles-mêmes et elles semblent s'en amuser comme des folles. Tout d’abord ma casquette, ma montre, mes chaussures et mes chaussettes sont jetées près de mon bagage sans ménagement, et quand seuls me restent mon pantalon et ma chemise, elles prennent une petite pause. Le contact de mes pieds nus sur le sol humide me calme un peu et je respire à nouveau ...
... normalement, la sensation sur la plante des pieds est très agréable, non seulement à cause de la fraîcheur de l’humidité, mais surtout je ressens la douce caresse des feuilles aux mille formes. “Que lui enlève-t-on à présent? Marianne à toi de choisir”. La nommée Marianne arbore un grand sourire, s’approche de moi doucement et commence à déboutonner ma chemise, le bouton du bas, le suivant... à chaque bouton elle entr’ouvre la chemise un peu plus. Au troisième bouton elle s’écrie: “oh, le beau nombril!” et passe son index dessus. Je frissonne du plaisir ressenti par cette caresse subtile. Les fines mains de Marianne écartent bientôt toute ma chemise vers l’arrière, laissant voir mon torse frémissant à toutes ces filles dont les yeux brillent de plus en plus, puis Marianne, me contournant, fait glisser le vêtement de mon corps et ma chemise rejoint le petit tas de mes affaires personnelles. “Voilà”, dit Marianne, “A ton tour Valérie, bien qu’il n’y ait plus rien à choisir!” - rires de toute l’assemblée! - Valérie doit être la plus jeune des filles, peut-être à peine 18 ans et semble être la plus timide aussi. Elle s’approche doucement puis se décide d’un coup et défait la boucle de ceinture comme par magie. Le bouton du pantalon ne lui résiste pas longtemps non plus, mais elle prend tout son temps pour descendre la tirette. Elle aussi passe derrière moi pour prendre les bords du pantalon à la taille et elle le fait glisser lentement vers le bas, comme pour me donner en spectacle à ses ...