1. Charlène, sa nièce et son amie (5)


    Datte: 30/05/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Sur la route du retour de notre intermède avec les routiers, je décide de faire une dernière halte dans une station autoroutière. Ma tante est toujours à poil sous son imper, juchée sur ses escarpins. C’est très éclairé, je gare la Clio un peu loin du bâtiment. Nous descendons de la voiture .Il y a un type qui se repose dans une grosse berline. Il nous jette un regard quelconque. Après tout deux femmes qui marchent dans la nuit, quoi d’extraordinaire? Je m’approche de Charlène et me place juste derrière elle. J’écarte les pans de son manteau et fait admirer la poitrine de ma tante au chaland. Ça le requinque immédiatement. Je pelote ses seins nus puis glisse ma main vers son bas ventre tout en lui mordillant le cou. Elle se laisse faire docile. Ça suffit! Je prends la main de ma tante et l’entraîne vers le bâtiment illuminé. Il y a peu de monde à l’intérieur, quelques couples fatigués et quatre ou cinq célibataires, tous attablés devant des boissons énergétiques ou du café. C’est ce que nous choisissons. La machine est en bout de magasin. Personne devant nous. Par chance il n’y en a qu’une qui fonctionne. Le temps de faire le premier café, deux types, un assez jeune et un sexagénaire attendent leur tour derrière nous. Quand ma tante se penche en avant pour récupérer le gobelet, je soulève le bas de son trenchcoat et sa croupe dénudée apparaît. Je tourne la tête vers les deux gars. Ils sont sidérés. J’introduis une deuxième pièce dans la machine. Charlène me tend le gobelet ...
    ... mais je le refuse. Le deuxième breuvage est prêt et elle l’attrape de sa main libre. Quand elle se retourne, j’ouvre largement son vêtement et les deux voyeurs ont l’opportunité de mater le côté pile. Charlène ne bouge pas, les mains prises, et je fais un petit signe au plus vieux qui comprend rapidement. Il glisse sa main sous la gabardine ouverte et vérifie de sa main l’état des lieux, bientôt accompagné par le plus jeune. La séance a attiré le regard d’un couple assis un peu plus loin. Je fais signe à ma tante d’avancer, toujours débraillée, son corps se révélant et disparaissant au gré de ses pas. Nous nous dirigeons vers la table du couple où deux places restent libres. La femme à l’air passablement gênée alors que son compagnon manifeste un intérêt soutenu à la vue de ma tante. C’est un couple sans âge, elle assez volumineuse et lui plus sec. Charlène opte pour sa compagnie alors que je choisis madame. Nous les saluons poliment et je leur demande si nous pouvons nous asseoir en leur compagnie. Elle a l’air de trouver cela assez saugrenu car la salle du restaurant routier est aux trois quarts déserte, mais elle n’ose refuser. Nous échangeons quelques banalités en buvant notre café. Assise en face de ma tante je vois sa poitrine et son ventre jusqu’au nombril. Le mari est placé devant un dilemme absolu. Le voir faire est jubilatoire. Son regard hésite entre celui de sa femme, qui ne le lâche pas des yeux et l’envie de constater ce qui se passe à sa droite. Je vois l’imper ...
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