1. Ma coloc' Nina (4)


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... la main et te faire passer les frontières, les unes après les autres. Si tu me fais confiance, je te promets que tu ne voudras jamais revenir de ce côté-ci de la barrière, et je te promets que tu seras toujours en sécurité avec moi. Nina a alors lâché sa jupe et pris ma main dans la sienne. _ Je te fais confiance, et je veux que tu m’emmènes là où tu en as envie. _ Alors suis-moi. Nous avons quitté le marché et nous sommes dirigés vers les quais de Saône. A cette heure-ci, les berges étaient désertes. Nous nous sommes arrêtés sous un pont, cachés des éventuels passants au-dessus de nous. Nina devait s’attendre à quelque chose, je ne l’avais pas emmenée dans ce coin reculé pour rien. Alors elle me regardait, sagement, les mains dans le dos, attendant les instructions. J’ai alors remonté sa jupe, haut sur ses hanches, et d’un pied, je lui ai fait écarter les jambes. Puis les instructions sont venues. _ Je me suis rendu compte ce matin que depuis hier, tu m’avais fait jouir deux fois. Ce qui est normal puisque c’est ta principale préoccupation, désormais. Mais moi, goujat que je suis, je ne t’ai même pas fait jouir. Alors tu vas le faire maintenant, je t’y autorise. Nina est restée interdite un instant, sans trop comprendre ce que je lui demandais. _ Branle-toi et jouis, ai-je insisté. Ne me force pas à te punir dès le premier jour. Elle m’a regardé apeurée, mais n’a pas tardé à ramener ses mains devant elle, et à commencer à s’activer. Un doigt timide s’est d’abord aventuré ...
    ... sur sa fente, avant de glisser entre ses lèvres. Elle n’arrêtait pas de regarder à droite et à gauche, et quand on entendait des gens parler au-dessus de nous, elle fermait les yeux comme si cela allait les empêcher de la voir. Mais personne ne faisait attention à nous. Personne ne pouvait vraiment la voir. Sentant qu’elle avait du mal à se concentrer, je me suis approché d’elle et j’ai posé ma main sur sa poitrine. _ Allez, va falloir faire ça mieux. Je vais pas attendre ici jusqu’à ce soir. C’est ce que tu voulais, non ? Que je te regarde te branler. Le premier soir. _ Ou.. Oui, a-t-elle soufflé. Et dès lors Nina a redoublé d’énergie. Un deuxième doigt s’est glissé entre ses cuisses. Ses yeux se sont fermés, sa bouche s’est entrouverte, et entre deux gémissements, j’ai entendu les clapotis de son sexe humide sous sa main. A un moment, elle a ouvert les yeux et vu qu’une péniche était en train de passer en face de nous. _ Marc… Marc ! Pour toute réponse, j’ai relevé son pull au-dessus de ses seins et ai commencé à lui pincer les tétons. _ Tu n’as même pas intérêt à t’arrêter ! Nina a continué son travail sans lâcher le bateau des yeux. Elle regardait maintenant partout autour d’elle et gémissait encore plus, comme si la situation commençait à l’exciter. Ma main n’avait pas lâché son téton. Je le pinçais, le faisais rouler entre mes doigt, tirais dessus. Mon autre main n’est pas restée inactive, et est descendue le long de son dos, jusqu’à ses fesses, que j’ai d’abord caressées ...