1. Léonora (1)


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Transexuels

    Jeannedorée Léonora 1 travestis fantasmes Les drôles de galipettes de mes deux collaborateurs espionnés grâce à une caméra et ma folle nuit entre travestis dans un hôtel nous ont permis de faire connaissance avec « des hauts et ...des bas ».. Mais je vous l’ai laissé entendre, l’honorable chef d’entreprise, mâle à la cinquantaine bien installée que je suis, cultive un goût du sexe ambigu en général... et des tenues féminines en particulier. Un frisson ou une frénésie qui aimerait déborder de ces espaces en vase clos quitte à prendre quelques risques. Celui de sortir le soir dans la rue devant chez moi habillé en femme. Celui de surprendre des personnages du quotidien. Comme cette fois où je me suis travesti pour aller ouvrir la porte d’entrée le matin à ma femme de ménage. Les petites plumes Ce jour là j’avais délibérément laissé mes clefs à l’intérieur de la serrure pour l’obliger à sonner, m’amenant à aller lui ouvrir la porte.. Ma femme étant partie le chemin était libre, j’avais eu le temps de me préparer et c’est en porte jarretelle et bas, combinette et même un soutien gorge rehaussé de petites plumes blanches, talons très hauts et fond de teint adapté que je suis allé ouvrir ou entr’ouvrir, faisant semblant d’être surprise dans cet état et confuse. Elle entre et je referme très vite. Bon...jour ! L’accent un peu trainant illustre l’humeur imperturbable de Béatrice. Elle passe devant moi et monte l’escalier. Elle est d’une taille moyenne, 1mètre 65 peut être, plutôt ...
    ... svelte. Ses jambes, toutes droites et fines dans ses trotteurs, ressemblent à celles d’une adolescente en chaussettes mais sont gainées d’un collant ( je suppose) hyper classique lui aussi. La jupe descend jusqu’en dessous du genou, le petit pull ou le gilet sont sages et disparaitront tout à l’heure sous sa blouse. La poitrine, sauf à y regarder de très près, ce que je n’ai jamais fait, est imperceptible et doit relever elle aussi de l’adolescence plutôt que de l’âge mûr qui est pourtant celui de notre femme de ménage. Vous dire plus précisément je ne saurais... mais en quinze ans elle n’a pas changé. Elle porte un chignon de cheveux plutôt blonds et le visage lui même est on ne peut plus banal si ce n’est que les yeux et le sourire expriment une liberté de pensée ou de complicité que le reste du corps ne traduit pas. Je monte aussi rejoignant la partie séjour de notre habitation mais je m’éclipse un moment dans une chambre. Béatrice a eu le temps de se mettre en tenue et commence le repassage dans le salon. Je l’y rejoins, toujours dans ma tenue mais avec un maximum de discrétion dans mon attitude et ma démarche. « J’espère que je ne vous ai pas choquée Béatrice ». « Oh vous savez monsieur, moi je suis là pour le ménage, c’est tout » « Oui mais vous pourriez penser... » « Non, j’avais juste remarqué que vous aviez des bas la dernière fois dans sur le bureau de votre chambre et je pensais que c’était pour des problèmes de circulation. Là je vois que c’est différent » « Oui, ...
«123»