1. La rencontre


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fh, ffh, 2couples, fbi, frousses, Oral 69, double, fsodo, hdanus, hsodo, jouet,

    Messieurs et Mesdames, Je me présente Paul la quarantaine, 1,85 m et 105 kg, j’arrive un maintenir un aspect sportif grâce à des séances régulières de natation. Je pense que l’amour entre deux êtres humains peut exister quelle que soit l’activité de l’autre : je vais vous raconter ce qui m’est arrivé il y a une quinzaine d’années. Jeune ingénieur sur Paris, je sortais fréquemment avec une équipe de joyeux lurons. Souvent et bêtement, le samedi soir nous passions en voiture dans les allées du bois de Boulogne pour s’encanailler. Lors de l’une de ces soirées, nous sommes tombés en panne de voiture. Jeunes couillons penauds, nous nous sommes retrouvés à marcher pour rejoindre le métro. Lors de cette balade imprévue, j’ai croisé le regard d’une jolie rouquine qui marchait et attendait le client : il y a eu un déclic, elle m’a souri. Elle était habillée d’une robe noire très très courte et très décolletée ; la robe ne lui allait pas, elle la rendait vulgaire. Son visage légèrement maquillé était éclairé par un regard vert pétillant mais fatigué. Elle mesurait environ 1,60 m avec une belle poitrine. Arrivé au métro, j’ai prétexté être fatigué et vouloir rentrer chez moi. Je suis revenu sur mes pas et je la vois monter dans une voiture. Je me dis« Tu es con, elle t’a souri car tu étais un client potentiel… » J’ai donc zoné un petit peu dans les allées du bois sans trop savoir ce que j’attendais. Je me suis même fait aborder par un trans brésilien sympa qui directement a voulu ...
    ... vérifier qu’il me faisait de l’effet. Au bout d’une demi-heure, je repartais sans avoir rien consommé et triste. Et là, je la revois, elle me refait un grand sourire et j’ose l’aborder. Elle me dit : « J’ai fini, je m’en vais. » Je lui ai donc proposé d’aller boire un verre : elle a accepté mais elle voulait se changer avant. Elle m’a donné une couverture issue de son sac et m’a entraîné dans les bois. Là elle m’a demandé de la protéger du regard des autres avec la couverture et elle s’est changée pour enfiler un jean et un tee-shirt. Elle était là pratiquement nue sous mes yeux, je la trouvais très attirante. Ensuite, nous nous sommes retrouvés dans un bar à cocktails où nous avons discuté longuement. Elle me dit s’appeler Lucie. Elle avait trois ans de moins que moi et était étudiante à la Sorbonne. N’arrivant pas à joindre les deux bouts, elle avait décidé avec une copine de franchir le pas. Elle m’a expliqué comment les filles défendaient leur bout de trottoir, comment elles essayaient de sélectionner leurs clients, comment elle s’était fait racketter par un proxénète. Je pense qu’elle avait besoin de se confier et que mon statut d’inconnu lui faciliter la chose. Je buvais ses paroles. Nous nous sommes quittés vers 3 heures du matin sans qu’elle ne me laisse un numéro pour la rappeler ; d’ailleurs je ne lui avais pas demandé. Je ne savais plus quoi penser. Cette fille me plaisait et j’avais envie de la revoir, mais pas au bois, pas comme une prostituée. Elle était belle et ...
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