Vue imprenable.
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... comprends aussitôt que c’est pour prendre sa place. Mais pas la place de suceuse, non la place de l’homme en érection devant la femme allongée. Lise aussi comprend. Comment pourrait-elle ne pas comprendre ? Déjà, dans un mouvement guidé de sa main, il frotte son gland contre son intimité. Ce geste semble la terrifier. Elle me regarde. Son regard parle avant même qu’elle me dise : — Louis. Louis. Il va… Je m’agenouille à côté d’elle, approche mon visage du sien. Ses yeux ne me quittent pas. Pourquoi ne suis-je pas vraiment surpris de l’attitude de Marc ? Pourquoi depuis des jours chaque fois que nous faisons l’amour j’ai la vision de ma Lise dans les bras de cet homme. Une vision qui me perturbe. Une vision qui me fait bander. Une vision que j’ai apprivoisée et analysée. Une vision qui me fait imaginer d’autres choses. Une vision qui se mélange avec les confidences de Martine, qui déclenchent des rêves éveillés. Des fantasmes dont l’érotisme est si puissant que je m’y plonge avec volupté. Oui, moi, je l’ai déjà vécu par la pensée ce moment. Et c’est instant où, mari candauliste, j’assiste vraiment à la possession de mon amie par un autre. — Oui, mon Amour. Il va… Mais seulement si tu le désires, si tu en as envie. Marc continue son jeu et je sais qu’il écoute. — Mais toi, que… Le regard n’est déjà plus celui de la peur, il vire à l’interrogation. — Si tu le désires, alors moi j’en serai heureux.— Tu crois. Vraiment ? Mais elle a déjà répondu « Oui ». Pas un « Oui » qui sort ...
... de sa bouche, mais alors qu’elle s’était redressée pour regarder Martine sucer son mari, elle se rallonge, la tête sur la table basse. J’insiste, autant pour être vraiment rassuré, que par perversité. Je veux l’entendre. — Tu en as envie ? Tu le veux ?— Oui.— Tu veux qu’il te prenne ?— Oui ! Oui ! Rien n’est plus doux à entendre. Rien n’est plus beau à voir. Le visage qui se transforme alors que Marc avance. La lente progression de la queue qui ouvre un chemin déjà préparé par Martine, déjà humide d’une jouissance, et j’en ai la certitude par une envie inavouée. Lise ne peut pas avoir oublié leur baise pour le bail, une baise que sa jouissance avait immortalisée dans son esprit. Eh oui, son visage qui se détend, ses yeux qui se plissent et surtout, surtout, les lèvres qui s’entrouvrent pour laisser échapper un soupir. Le souffle du bonheur. Un souffle qui s’arrête alors que le mandrin est au plus profond et que l’homme plaquant son pubis contre celui de la femme. Un homme qui commence ses mouvements du bassin. — Tu es bien ? Je demande à mon Amour.— Oui.— Il est gros, plus gros que moi. Il ne te fait pas mal ? Bien sûr que non il ne lui fait pas mal. Je le sais. Je l’ai déjà vu posséder ma copine avec autrement plus de puissance. Mais je veux entendre ma Douce me le dire. Je veux qu’elle me dise qu’elle aime. Que c’est bon. — Non, non. C’est bon. Voilà, c’est dit ! Cela peut paraître anodin, mais ces quelques mots ont une telle puissance érotique que ma queue déjà dressée ...