Vue imprenable.
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... qui me fait un clin d’œil. — Louis, il va me prendre par-derrière, me dit Lise, inquiète de sentir le mandrin qui se frotte à sa raie et que je sens moi aussi au contact de ma queue et de mes couilles.— Ah, ce petit cul. J’en rêve depuis l’autre fois. Je ne peux pas attendre la révision du bail. Marc fait allusion à cette scène où il baisait sa locataire en levrette et lui avait glissé un pouce coquin dans le cul. — Non, pas comme cela. Louis, dis-lui. Pas en même temps, me supplie Lise. Je n’ai pas le temps de répondre que déjà Marc pousse. — Vous verrez, c’est divin. Hein, Martine ?— Oui. Je sens nettement la pression qui s’exerce. Instinctivement j’ai pris ma copine dans mes bras. Son visage est tout contre mon épaule. Je sursaute en même temps qu’elle. Marc vient de lui claquer la fesse. — Ahhhh. J’entends Lise souffler dans la chaleur de mon cou. Moi aussi je sens la différence. Marc est entré. La base de ma queue est pressée. Le bas, puis le reste. Je sens le mandrin se glisser dans le cul, frayer son chemin dans le boyau étroit, mais surtout me disputer de la place. Nos deux tiges se frottent. — Ahhhh. Le râle ne cesse que lorsque Marc couvre totalement la femelle que je tiens dans mes bras. — Tu as mal ? Je demande tout de même inquiet et conscient du volume de ce qui occupe son cul. Sans ma présence, je ne serais pas inquiet. Le cul de ma Chérie est assez "rodé", même pour la bite de Marc. — Non… C’est gros… Je le sens si gros… Et toi aussi. Marc reste un moment ...
... ainsi. C’est Lise qui bouge imperceptiblement au début et un peu plus ensuite. Et puis il commence. Moi, je reste figé de peur que ma queue sorte de son étui. Il bouge doucement. Il enfile ma copine par le cul comme on déguste une première fois. Il me sourit. Je lui réponds. Complicité d’homme ! Je suis pas à pas ses mouvements. Ma queue est une sonde parfaite d’une sensibilité extrême. En bougeant, non seulement Marc décontracte Lise en lui massant le cul, mais il me caresse la bite. Longtemps il est seul à bouger. Lise se décontracte de plus en plus. Elle se laisse aller. La bite de Marc la laboure de plus en plus facilement. — Mmmm. Je sais traduire l’incompréhensible. Chaque mot indistinct, chaque souffle, chaque grognement est chargé de sensations. Lise commence vraiment à apprécier. Marc le comprend. Il la chauffe doucement. On dirait qu’il la connaît comme moi. La bite est un pieu qui s’enfonce de plus en plus fort, de plus en plus profond. Pourquoi ai-je l’impression que Lise pousse son cul vers lui, se cambrant au risque que je sorte de sa fente. Moi aussi je pousse en avant. — C’est bon. C’est bon. Voilà, elle se libère. Elle quitte la chaleur de mon cou pour se redresser un peu. Son visage est en face du mien. C’est elle et ce n’est pas elle. Elle grimace. Ses lèvres se pincent. Ses yeux sont remplis de larmes. — Oh. Louis. C’est bon. Et puis dans un éclair de lucidité. — J’ai honte. J’ai honte. Marc est un piston. Le cul, un gouffre sans fond. — Jouis, mon Amour, ...