Vue imprenable.
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
fplusag,
couplus,
cocus,
voisins,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
... cochonne. Sous tes airs de gamine, une salope sommeille. Hein. Dis-moi. Encourage-moi. Sinon je te laisse en plan. Une claque sur les fesses accompagne sa demande. L’homme est un vrai pervers. Il veut plus qu’une baise. Il veut que sa partenaire participe. Une façon de la contrôler, de l’humilier, de la soumettre à son désir. Nouvelle claque. — Alors ?— Oui, oui. Baisez-moi. Nouvelle claque. — Répète après moi. Nouvelle claque. Lise ne se rebiffe pas. Jamais je n’aurais osé la « battre » de cette façon. Je me suis toujours comporté en amant délicat, soignant les préliminaires, attentif au plaisir de ma copine, essayant toujours de la faire jouir avant moi. — Répète. J’aime votre gosse bite. Silence. Il lève la main… — J’aime votre grosse bite. Je ne vois que ma copine et son amant de profil. J’aimerais voir le visage de Lise. Son expression alors que cet homme la soumet, la domine, lui impose sa loi. Ohhhh. J’ai le regard rivé à l’écran, mais plus bas, plus près, Martine s’occupe de moi. Elle me suce la queue. Une queue bien raide. J’ai honte. Oui, j’ai honte. Quel homme suis-je donc pour bander alors que je constate que ma copine se comporte comme une pute. Après tout si ce n’est pas de l’argent qu’elle reçoit en échange, c’est comme si. Et jamais, non jamais, moi je ne lui ai demandé cela. Et encore si je l’avais demandé, si elle avait obéi, consciente de l’importance de sa mission, elle n’aurait pas dû se comporter comme celle que je vois sur l’écran. Ohhhh. La langue ...
... de Martine me déguste et c’est bon. La cochonne ! Déjà hier, sa façon de me séduire montrait une expérience que seul l’âge apporte. Et elle me pompe. Alors que ma salope de Lise se fait tringler. — Ahhhh. Justement, c’est elle qui râle. — Quel cul ! Ton copain t’encule au moins ?— Oui.— Tu aimes. Non, ne réponds pas, je devine que tu aimes. Salope. Cochonne. Le pouce que Marc vient de glisser dans le cul de ma copine semble une vrille qui s’enfonce en tournant. Il disparaît totalement. La main orpheline de son pouce se plaque sur les reins. — La prochaine fois, c’est par ton cul que tu obtiendras une remise. Hein, salope !— Oui. Si vous voulez. Le rappel de la raison de ce « rendez-vous » me donne à réfléchir. Je suis injuste. De quel droit je condamnerais ma copine ? Elle croit bien faire et si elle se laisse emporter par ses sens, c’est bien normal. Elle est jeune. Elle est belle. Son corps demande du plaisir. D’habitude c’est par moi qu’elle l’obtient. Moi-même, je ne suis pas exemplaire. Oui, qui suis-je pour condamner alors que, oui, alors qu’hier je me laissais moi aussi séduire et encore juste pour le plaisir, même pas pour une faveur. Et pire, à l’instant qui suis-je, alors qu’on me pompe et que je regarde en bandant ma copine se faire baiser ? Pardon, mon Amour d’avoir douté de toi. Merci d’avoir accepté de te sacrifier, même si c’est par un quiproquo, afin que nous trouvions un toit pour notre amour. Je te pardonne. Non, je ne te pardonne pas : je te remercie du ...