Isabelle, Liliane, moi et les autres… (2) - Histoires de Sexe

Isabelle, Liliane, moi et les autres… (2)

Gwen, après s’être relevée part dans la piscine. Je la suis. Elle est impressionnée par ma bite qui ne débande pas. Je descends par les marches et je nage jusqu’à être à un mètre de la jolie blonde. — Tu ne débandes jamais ? — Pas devant une aussi belle fille, femme devrais-je dire. — Arrête, tu vas me faire rougir... Elle s’avance vers moi et me saisit la queue. Quelle assurance. Non, ce n’est plus la petite fille douce est bien élevée mais une femme pleine d’envie. Elle m’avoue qu’il y a bien longtemps qu’elle rêve de moi, enfin de ma bite. Depuis qu’elle nous avait surpris avec sa mère en train de baiser dans la salle de bain. Depuis elle nous espionnait en espérant nous voir nous aimer et baiser sans retenue. Elle se touchait régulièrement en pensant à nous, nous imaginant dans des scénarios scabreux, imaginant ma bite lui perforer la chatte et l’anus. Evidemment ses révélations m’étonnent qu’à moitié. On se cachait mais parfois, pensant que nos enfants dormaient, on s’adonnait à des parties fines dans toutes les pièces de la maison. Bref, elle s’amusait quand elle nous surprenait sous la douche, moi avec sa mère, Lili ou tous les trois. Pour ce qui est de sa relation avec Julien, ça c’est fait tout naturellement, sans tabou. Un soir ou nous étions partis avec les deux derniers, ils s’étaient retrouvés seuls. Julien avait proposé un bain de minuit et ce qui devait arriver, arriva. Cela fait un an qu’ils nous cachent cette relation. — Et bé... Si je m’attendais à ça !!! ...

... Elle sort de l’eau et s’essuie et se dirige vers la terrasse Je la regarde, hypnotisé par tant de beauté. Elle me regarde en souriant. Je fonds littéralement. Je remonte, ma bite et mes couilles battent la mesure. Elle s’assied sur une chaise. Je la rejoins et lui demande si elle veut boire quelque chose. Un « oui » timide, suivit d’un pincement des lèvres et un regard qui en dit long sur ses envies. Je vais prendre deux bières et je jette un œil dans le salon, mon fils n’y est pas. Je fais un tour dans les chambres, il dort profondément dans l’ancien lit d’Isa. — Ton mec est épuisé, dis-je à Gwen en la rejoignant sur la terrasse. — Je l’ai épuisé tant que cela ? — Bin, il faut croire. On allume chacun un clope et on ouvre nos boites. Elle me dit ses craintes d’avouer à sa mère sa relation avec Julien et moi. Je la rassure en lui disant que sa mère ne lui en tiendra pas rigueur et que l’inceste n’est pas un problème pour elle, qu’elle a déjà initié un frère et une sœur aux plaisirs de la chaire (cf. Isabelle, grosse et petite mais belle 21), et puis ça reste en famille. Elle se rassure mais le doute subsiste. Elle n’a d’yeux que pour mon rostre. Elle passe la langue avec envie sur ses lèvres. Je lui souris. Mon fort intérieur m’intime l’ordre de ne rien tenter. Je me lève et vais prendre une douche à l’intérieur. Cette douche, que j’ai prise froide, m’a fait le plus grand bien. Julien s’est réveillé et a décidé d’emmener Gwen au resto. Bonne idée. Ils repasseront ce soir... Je ...