1. Le cul de Lucienne


    Datte: 01/06/2018, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, fsodo, jeu, yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... sensuellement sous mon nez, et, sans doute sans le savoir, j’ai dû connaître mes premiers émois. Je me rappelle d’un jour où le four refusait de s’allumer, ce qui l’avait amenée à passer de longues minutes le tronc enfoncé dans la cuisinière et le cul dressé dans ma direction. Je me le rappelle comme si c’était hier. La bouche ouverte et, très probablement, un sourire béat dessiné sur le visage, j’ai contemplé ses jambes et ses cuisses épaisses, largement dévoilées sous la petite jupe à volant qu’elle portait ce jour-là et sous laquelle j’essayais de glisser mon regard. Je me suis penché, encore et encore, jusqu’à parvenir enfin à discerner une large culotte blanche, lumineuse comme un soleil, qui emballait sensuellement son magnifique derrière. Sous le coup de l’émotion et de l’attraction universelle, ma chaise à brusquement basculé et je me suis retrouvé sur le sol dans un énorme fracas, allongé sous les jupes de Lucienne. — Eh bien Jacques ? Ça va ? Tu ne t’es pas fait mal, j’espère ?— Non Madame, ce n’est rien je vous assure, ma chaise a glissé, excusez-moi. Je me suis relevé d’un bond, les joues en feu, redressant la chaise pour me plonger aussitôt sur mon devoir de français. J’aurais voulu que la terre me dévore sur le champ. — Tu dois faire attention quand tu te penches, tu pourrais te blesser la prochaine fois. Elle a éclaté de rire, comme si elle avait deviné la raison de ma chute. À partir de ce jour, il m’est arrivé souvent de me pencher sous la table de la ...
    ... cuisine, pour admirer à la dérobée la petite culotte de Lucienne et les belles fesses qu’elle enveloppait. Je crois qu’elle n’était pas dupe et je suis sûr que quelques fois, elle prenait plus de temps que nécessaire pour fouiller dans les armoires de la cuisine, tantôt penchée au fond d’un placard, tantôt perchée sur une escabelle à la recherche d’un ustensile quelconque. — Jacques, tu veux bien tenir l’escabelle ? Elle est un peu branlante. Je ne la trouvais pas si branlante que cela, mais je n’allais pas refuser une telle invitation à glisser librement mon regard curieux sous les jupes de ma jolie voisine, à la découverte de son éblouissant derrière. À chaque fois que René rentrait chez lui, après sa journée de boulot, il assenait une grande claque joviale et enthousiaste sur le cul de son épouse, sa façon à lui de dire « bonsoir mon amour ». Au début, j’ai trouvé cela surprenant, mes parents ayant toujours eu un comportement, disons, plus « réservé ». Je ne comprenais pas comment Lucienne pouvait se laisser claquer le derrière de cette façon. Je trouvais que René était une brute mal élevée qui ne méritait pas ce magnifique trésor qu’il martyrisait tous les jours. Mais, en entendant le rire éclatant de la jeune femme et en observant les tendres étreintes amoureuses qui suivaient cette salutation brutale, j’ai compris que le cul devait receler des mystères que je rêvais de découvrir chaque jour davantage. Je crois que je dois ma fessophilie autant à René qu’à Lucienne. Si la ...
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