Le cul de Lucienne
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
... petit cocon de satin. Deux semaines qui m’ont offert deux nouveaux épisodes de « Zorro », au cours desquels j’ai pu admirer et partager l’intense beauté de la jouissance, m’enhardissant un peu plus à chaque fois, jusqu’à me retrouver dans la cuisine, un mètre derrière René et à peine plus loin du cul magnifique qu’il caressait et visitait pour moi. Si elle s’était retournée, elle aurait découvert mon sourire d’illuminé. Mais elle a ne l’a jamais fait, se contentant de regarder droit devant elle, en fermant les yeux peut-être, gémissant de plaisir en se laissant emporter par les assauts passionnés de son mari. Je crois qu’elle savait que j’étais là, que je la regardais avec des yeux brillants d’admiration, et pourtant elle ne m’en a jamais rien dit. C’était notre petit secret à elle et à moi. La veille de notre déménagement, alors que je venais tout juste de fêter mes dix-huit ans, Lucienne a convaincu mes parents de me laisser passer la nuit chez eux. — Comme cela il ne sera pas dans vos pattes ce soir. Vous avez sans doute encore pas mal de choses à préparer, avait-elle invoqué. On comptait aller au cinéma avec René, on pourrait emmener Jacques avec nous. J’ai donc passé ma dernière soirée dans le quartier de mon enfance en compagnie de la plus délicieuse des femmes et René, mon initiateur et mon ambassadeur auprès du Saint Siège. Nous sommes allés voir « L’Exorciste » sous l’instance de René. Pour ce qui me concerne, je n’étais pas trop fan des films d’horreurs. — Tu ...
... verras, tu ne vas pas le regretter. Il m’a lancé un de ses clins d’œil dont il avait le secret et j’ai tout de suite compris qu’il devait avoir quelque chose en tête. En fait, ce malin de René savait parfaitement que Lucienne était particulièrement réceptive au spectacle sanglant et Grand-Guignol des films d’horreur, et, dans ce genre de registre, « L’Exorciste » est plutôt un chef-d’œuvre. La pauvre a donc passé le film assise entre nous deux, à nous serrer nerveusement le bras, à dissimuler son visage derrière le nôtre, à pousser des cris stridents, comme d’ailleurs plus de la moitié de la salle. Et pendant ce temps, René et moi, essayons de la tranquilliser en posant chacun une main réconfortante sur ses cuisses. Je regardais discrètement le visage de René qui continuait à me lancer des clins d’œil entendus, tandis que Lucienne se dissimulait le visage et que nos mains remontaient lentement sa jupe pour se glisser le long de ses cuisses dénudées. C’était la première fois que je la touchais et je sentais trembler mes doigts moites tandis qu’ils se glissaient sous le tissu fleuri. Mon cœur battait à cent à l’heure, accélérant dangereusement, les spasmes qui m’agitaient la queue. Lorsque ma main a rencontré celle de René qui, comme moi s’avançaient à la conquête du Graal, Lucienne a attrapé nos poignets pour descendre nos mains jusqu’au milieu de ses cuisses et pour les retenir sous les siennes jusqu’à la fin du film. Tout compte fait, je crois que je préférais cela, parce que je ...