Je reprends du service - Histoires de Sexe

Je reprends du service

... pénètrent et commencent leur travail. Ils ressortent ; glissent sur mon petit bouton d’amour et replongent sans cesse. Mon autre main a extrait un des mes seins de mon haut et le caresse, le malaxe frénétiquement, joue avec le téton. Il me faut peu de temps pour jouir violemment. La voiture fait caisse de résonance et me renvoie mon cri dans les oreilles. Je continue mon œuvre de plaisir pour enfin arriver au bout du bout. Après quelques minutes peut-être, je reprends mes esprits et c’est là que je vois une silhouette à une des fenêtres du restaurant. Je reconnais Sylvie, elle doit se demander pourquoi je ne pars pas. Pourvu qu’elle n’ait rien vu. Mince ! La lumière de la cour est allumée. Je me dis qu’avec les reflets du pare-brise, il y a peu de chance de voir à l’intérieur et je démarre, encore tremblante. Le dimanche passe à toute allure, je suis encore bercée par le souvenir de mon samedi soir, si torride. D’ailleurs, le soir même dans mon lit, bien que je sois exténuée, je m’étais adonnée à une nouvelle séance violente de masturbation. Celle de la voiture n’avait pas suffi à me calmer. Heureusement, le lundi je suis revenue sur terre pour reprendre le boulot, enfin dans un état plus normal si tant est qu’il le soit habituellement. Mon téléphone sonne en fin d’après midi, c’est Sylvie de nouveau : — Salut, c’est Sylvie . — Bonjour, tu as besoin de mes services pour cette semaine ? Tu sais que tu peux compter sur moi !— Non, non ! Arrête, tu vas me faire croire que mes ...

... appels sont toujours intéressés. Je voulais juste t’inviter pour ce soir chez moi pour te remercier. Le lundi, on est fermé, comme tu le sais.— Avec plaisir, mais il ne faut pas te croire obligée, si tu es crevée après tout le boulot que tu as eu.— Ça va, j’ai l’habitude et puis j’ai suivi tes conseils et je voulais que tu voies ça.— Mes conseils ?— Oui, sur des robes plus courtes, plus sexy et tout ça…— Ah bon ?— J’ai fait des achats aujourd’hui et je veux que tu sois la première à me voir habillée avec. C’est de ta faute après tout, à toi de supporter la vue la première.— Je suis sûre que tu es splendide, tu as toujours très bon goût.— Là, j’ai peut-être eu la main un peu lourde, ou plutôt légère. La robe est peut-être trop sexy pour moi. Je ne sais pas si je vais oser mettre ça. Même devant toi.— Allons ! Tu rigoles, arrête de te mettre des interdits idiots, tu es magnifique, je te dis.— OK, d’accord mais je veux que tu viennes aussi avec quelque chose de sexy pour me sentir moins seule et me donner moins de complexes. Il faut bien que je vérifie que tu appliques sur toi-même tes théories. J’entends son rire finir sa phrase. — Promis, je vais trouver quelque chose à me mettre. Tu verras, tu auras l’air d’une islamiste à côté de moi ! J’entends son rire dans le téléphone. — Promis ? Passe vers 20 h ou un peu avant, si tu veux.— À ce soir, bises. Le soir venu, je reste un moment en réflexion devant ma penderie. L’idée me passe d’enfiler la robe dont l’achat m’avait été imposé ...