1. Je reprends du service


    Datte: 02/06/2018, Catégories: ff, copains, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, intermast, Oral 69, Lesbienne

    ... dans toute sa nudité, mes bouts tendus et gonflés, mes larges aréoles rouges d’excitation. Mes yeux sont fixés sur elle quand les siens, brillants, se lèvent enfin vers moi. Nos regards se croisent alors. Comme pour la remercier du plaisir qu’elle vient de me donner, je lui fais le sourire le plus charmeur que je connaisse, elle me le rend longuement. Alors que je repars les mains pleines, elle me dit : — Vous avez oublié votre stylo.— Ah ! mince ! Vous pouvez me l’accrocher ? J’ai les mains prises, dis-je, toujours avec mon sourire dévastateur au visage.— Bien sûr. Ses yeux montrent qu’elle a bien compris mon jeu. Je me penche sur elle, la poitrine en avant. Elle tire d’une main le tissu entre mes seins, si fortement qu’elle découvre presque la totalité de ma poitrine. Comme par hasard, elle éprouve certaines difficultés à bien clipser le stylo dans l’encolure. Elle y arrive enfin et son regard de braise plonge de nouveau dans le mien. Je lui réponds toujours par ce même sourire aguichant : — Merci beaucoup.— De rien, ce fut un plaisir. Lorsque je repars, je sens ma chatte trempée et brûlante de désir, c’est alors que je vois Sylvie en haut de l’escalier, regardant dans ma direction. Elle a dû tout suivre de la scène qui vient de se passer. Confuse, je passe devant elle quand elle me demande : — Alors ça va ? tu t’en sors bien, on dirait.— Oui, oui, j’ai juste toujours bien chaud.— Je vois ça, tu as le front constellé de gouttes de sueur et…— Oui, c’est horrible. Avec ...
    ... l’âge, je transpire de plus en plus facilement. Puis je m’éclipse, pressée de la quitter vu les circonstances mais aussi de jouir dans mon coin de ce qui vient de se passer avec la belle brune. Les gouttes sur mon front, si elle savait pourquoi elles sont là, pas vraiment la chaleur de la pièce mais celle qui bout dans mon bas-ventre plutôt. Le reste du service se passe sur le même ton. Je fais de mon mieux pour laisser les trois tables qui ont montré le plus d’intérêt envers mes charmes profiter de mon corps selon le même stratagème. Les femmes allemandes font de plus en plus la gueule quand leurs maris s’écarquillent les yeux pour me mater les seins. Les trois hommes se laissent aller à des réflexions douteuses, me demandant si c’est une cochonne ou du cochon que je leur sers ou encore quand je me plains de la chaleur, ils me disent d’enlever le haut, que j’irai mieux après. Ces propos m’excitent encore plus, allez savoir pourquoi. Aussi je laisse faire, voire je les encourage. Comme quand ils me disent d’ôter le haut, je réponds que j’aimerais bien pouvoir le faire en rigolant et en tirant sur le tissu pour l’agiter et me faire de l’air, dévoilant encore un peu plus de ma poitrine. J’ai vaguement peur qu’ils fassent un geste déplacé tellement les allusions sont chaudes, mais non. L’apothéose vient avec la table de la belle brune. En débarrassant, la poignée de couverts que j’avais posés en équilibre instable sur une assiette glisse et s’éparpille au pied de leur table. Je ne ...
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